Mardi 23 avril 2 23 /04 /Avr 06:14

Salle de bain. Elle doit se mettre entièrement nue, s'allonger dans la baignoire et l’appeler.
Ce sont ses ordres, elle s’exécute.
Maître arrive, vêtu de ses bottes, d'une chemise bleue grisé veiné de blanc chiné, et d'un Denim moulant.
Il lui demande de couvrir ses yeux avec sa main.
L'autre tient ses cheveux relevé.
Elle attends...Elle sent soudain un jet chaud qui la prends pour cible, le liquide chaud coule sur son corps, son sexe, c'est une sensation qu'elle trouve agréable...
Elle se douche, Maître lui n'est pas content, il n'a pas réussi à uriner comme il l’aurait voulu, l’excitation aidant, il a été retenu.
Elle sort comme il aime: collier de chienne au cou,nue, cravache tenue dans ses mains.
Aujourd'hui elle a voulu la tenir les bras relevé au dessus de sa t^te: cette vision donne à Maître des envies de photos.
Elle tiendra la pose plusieurs fois, docile, consentante, joueuse concentrée, sur le lit, au sol, puis plus tard lovée autour de ses bottes. Poses pour trouver le bon équilibre, le plus juste alignement du bout du pied botté, de ses cheveux, de ses mains aux ongles rouges vif comme il aime.
Plus tard, elle lui montrera des positions de kajira avec son Ipod, il voudra qu'elle excute celle de "nadu".
Bandeau sur le visage, il la photographiera encore.
Maître Chat Botté à l’œil du photographe, il rends son corps plus beau que dans la vraie vie, elle aime regarder ses images...img068.jpg

 

La cravache et le fouet court aujourd'hui se montreront doux, presque tendre.
Rien à voir avec cette succession de coups brutaux et terribles de la précédentes séance.
Voulait-il la punir de partager SON après midi avec un autre Maître?
Ses larmes ont -ils attendri ce cœur de Poète , comédien d'el Arte, déclameur d'Aragon et autres grands sensibles écrivains?
Ils chanteront plus tard ensemble "Ami Chemin" de Nougaro.
Elle a dédié à Maitre Chat Botté cette chanson, elle symbolie leur lien.
Oui Maître Chat botté est devenu un Maître ami...
Plus tard encore, il explorera son corps avec sa main ganté de latex.
Doigts inquisiteur, elle gémira pendant que son intimité sera ainsi fouillé.
Plus tard encore, elle extraira de son vit son jus bouillonnant, elle sera ainsi filmé , toujours avec le bandeau.
L'heure de fin d’après midi arrivera.
Il faudra arr^ter le jeu. Mais...
Maître Chat botté a un ami avec un donjon. Il veut l'emmener en pèlerinage dans ce lieu mythique, antre de tous ses fantasmes et de ses peurs réunis..
Alors Betty attends.

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 21:27

Vous ne pouvez pas savoir comme vos messages, cet après midi m’ont fait du bien !

Je me surprends à chantonner, je ris, j’ai la démarche sautillante…

 

Parce que vous avez pris le temps de me répondre, et cela m^me un samedi.

Je sais combien c’est difficile pour vous.

Et parce que vous avez écris «  je pense à vous sans arrêt, c’est horrible »

Et je souris, parce que vous aussi vous êtes toujours dans mes pensées, c’est terrible.

 

Je ne m’attendais pas à ça lorsque je vous avais répondu pour la première fois.

Sauf que je savais qu’il fallait que je fasse attention, sur votre profil vous aviez marqué que vous souhaitiez une relation long terme,  que vous vouliez quelqu’un que vous feriez votre, et d’autres marqueurs encore qui montraient bien votre recherche.

De quelqu’un à …aimer.

Et moi grande bêtasse, j’ai cru être de taille à relever le défi, partir jouer avec vous qui aviez l’air si profond et attachant.

Mais votre appel a réveillé en moi, au fil de vos messages, ce que je croyais verrouillé et jeté aux oubliettes.

 

Et que dire de notre première rencontre ?

D’abord vous avez voulu me voir au restaurant. Et c’est tout. J’ai beaucoup apprécié que vous ne vouliez pas une séance là maintenant tout de suite.

M^me si je fais comme ça d’habitude avec les Maîtres de l’instant. C’était, oui, so romantic…

 

B^tasse, B^tasse…

 

Je me suis garée, et en sortant de la voiture je vous ai vu de l’autre coté de la route. En m’apercevant vous avez eu un sourire si chaleureux, si lumineux. J’ai littéralement « fondue » pour reprendre votre expression.

Et lorsque, ayant traversé la route, je me suis retrouvé devant vous, vous m’avez tout de suite saisie dans vos bras et embrassée à pleine bouche.

J’ai eu un choc. Je ne m’attendais pas à ce que mon corps réagisse comme ça.

Oui je ne m’attendais pas à vous.

 

Et que dire de nos séances ? Vous me faîte tout ce que j’attendais d’un Maître sans jamais avoir osée le dire.

Vous prenez mes poignets, me les enchaînez avec vos mains, je deviens votre prisonnière et j’adore ça…

Vous me saisissez par les cheveux, vous m’en faites une queue de cheval, et vous jouez avec ma t^te comme bon vous semble…

Lorsque vous l’avez tirée en arrière pour me forcer à me regarder dans ce miroir, vous dans mon anus, boudu ! Indescriptible ce que vous m’avez permis de ressentir…

 

De plus vous avez une vitalité incroyable, bien supérieure à la mienne, n’en doutez pas…

Lorsque l’après midi finissant, m’agenouillant devant vous, vous avez investi ma bouche, et vous que m’avez cravaché les fesses, tapes régulières, votre voix ordonnant « PLUS VITE »

 «  MIEUX QUE CA »  et autres commentaires qui me forçaient à vous satisfaire du mieux que je pouvais ; vous m’avez transformée en une femelle-bouche, concentré sur votre seul plaisir, m’efforçant de tout faire pour vous combler. J’entendais votre voix, première stimulation, je sentais la cravache qui ne cessait pas, deuxième stimulation. Mes fesses devenaient certainement rouge écrevisse bien cuite, le temps ne semblait plus s’arr^ter. J’ai  senti que je n’y arrivais plus, j’ai eu à un moment comme un « petit trou noir ». Vous l’avez perçu tout de suite, vous m’avez demandé si je voulais dire « rouge » pour arr^ter ? Je vous ai répondu « oui s’il vous plait » je vous ai dit que je n’arrivais plus à respirer, mais je ne sais toujours pas ce qui m’est arrivé à ce moment là avec vous.

C’était la première fois que je vivais ça avec un dominant, d’habitude je garde toujours un certain contrôle de moi-même.

Là non je n’ai pas pu.

Et je pense que vous croyez que vos coups de cravache, ou la douleur que vous pensez trop forte, m’ont fait l^cher prise, alors que non pas du tout…

Heu si dans un sens, peut être que je suis parvenue à un seuil où la douleur n’était plus de la douleur, se transformait en autre chose, mélangée à ma concentration pour vous fellationner.

J’en suis encore éberluée.

Mais je m’en suis voulue de stopper ce moment qui était si intense, j’espère que vous y pris du plaisir, mon Maître Sensuel..

Vous avez éjaculée sur ma langue, en vous masturbant pour m’aider, avez-vous dit.

(J’aurai tant aimé  avaler à nouveau votre sperme et m’en nourrir, vous donner avec ma bouche ce plaisir…Tant pis, peut ^tre que j’y arriverai à nouveau).

 

Et puis il y a votre perspicacité, votre clairvoyance dans ce que j’éprouve et ce que je ressens.

M^me dans les toutes petites choses.

Je ne peux rien vous cacher, vous lisez en moi comme un livre ouvert.

C’est agaçant. Ca me rends tellement vulnérable…

C’est effrayant. Ca vous rends tellement puissant…

Juste à ma respiration, moi dans vos bras, vous avez senti que je pensais à quelque chose qui me faisait stresser.

Et à notre première séance, alors que je vous enlaçais en vous serrant fort dans mes bras, vous avez dit « ha ha c’est  quoi ça ? » Je me suis immédiatement figée, j’ai bien senti, gr^ce à votre question, que je n’étais plus dans un jeu, mais dans un geste qui me trahissait.

Ne voulant pas l’admettre, j’ai pris une voix froide pour vous répondre ;

"Ca veut dire que je suis bien avec vous »…

 

B^tasse, B^tasse…

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Vague à l'ame dans la soumission
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 20:57

Vous me voulez vêtue d’une jupe en cuir,

Cuissarde moulante et ongles rouges vif,

Et ainsi s’avance Betty à votre convenance,

 

 

Vous me vouliez portant un short échancré au dessus des fesses,

Seins nus et patiente sous vos coups de fouet,

Et ainsi Belle Esclave s’était  montrée à vous,

 

 

Vous me voulez nue, sans artifice,

Supportant la douleur et livrant mon clitoris à vos coups de cravache,

Et ainsi marche stella à votre rencontre ;

 

 

Vous me voulez  parée d’un porte jarretelle rouge,

Bas noir et robe année 50, mes petites lèvres et mes seins prêt à porter vos poids,

Et ainsi sera soumise blue pour notre première rencontre,

 

 

Vous me voulez toujours embellie par des sous vêtements,

Sauf bien sur string et slip, habillé en putain pour nourrir vos instinct de jouisseur,

Et  ainsi femelle-christine viens rejoindre l’écrin de vos bras,

 

leopard.jpg

 

Tout cela et encore encore

Je peux être pour vous, beaux dominants,

 

Parce que je me sais polymorphe

Votre plaisir est le mien,

Je m’adapte à vos souhaits

Et mon plaisir se nourrit de votre contentement …

 

 

Par soumiserevedeliens - Publié dans : bdsm
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:57

Quand je suis arrivée dans le monde de la soumission,

Je croyais naïvement qu’être soumise, c’était avant tout une histoire de sexe, où je devais laisser mes orifices libres et à dispositions de Mon Maître.

Si je pouvais être attachée, c’était pour moi le paradis.

Puis, après des rencontres et Le Maître, je croyais que le monde du BDSM se divisait en deux sous-monde : ceux qui pratiquaient le soft et ceux qui n’aimaient que le hard.

 

bondage-copie-1.jpg

 

Maintenant, au stade où je suis, je réalise tout d’abord que je n’ai pas finis de découvrir.

 

Mais je m’aperçois que d’ores et déjà, je peux affirmer certains gouts et dégouts de ma part, que j’ignorais il y a encore 3 mois en arrière.

Tout d’abord je ne suis pas maso, irrémédiablement.

Je le découvre avec Maître Sévère, qui aime donner de la douleur, et qui va au-delà de mes limites, souvent.

Il est plus avancé que moi dans sa recherche.

Et une de ses phrases m’a éclairé sur mon coté maso.

«  Tu n’a pas joui ».

Alors qu’il venait de me frapper le clitoris avec une cravache, fort, j’en avais pleuré et eu très mal. Mes lèvres et mon clitoris en sont resté meurtri deux jours durant après nos jeux.

Quand je me caressais, il est vrai que ça rajoutais une dimension particulière… Que j’aimais bien je dois dire.

Parce qu’il est là, mon masochisme. S’il est accompagné d’une excitation sexuelle,  de caresses sur le clitoris, de doux tiraillements de mes mamelons, bref tout ce qui peut m’exciter, alors la douleur apportera une autre stature au plaisir. L’amplifiera en quelque sorte.

Mais la douleur seule, non, cela ne m’apporte pas de jouissance.

Et la phrase de Maître sévère (je lui ai demandé confirmation) voulait bien dire qu’il a rencontré des soumise jouissant par application de la cravache sur le clitoris…

J’en veux pour preuve que je ne suis pas maso pure.

 

Ensuite j’ai confirmé que j’aimais le sexe. Anal, vaginal, buccal, j’aime j’aime j’aime.

Une séance où je reste frustrée me mets très mal à l’aise, pour ne pas dire mal tout court.

Je me rappelle trop l’état où je suis repartie après la séance avec Maître-Fouet.

J’en ai pleurée dans la voiture.

Il était extrêmement sensuel, me caressait les mamelons avec les paumes de ses mains, ça plus les sensations piquantes du fouet (il allait tout doucement) m’avait transporté dans un état que j’ai du mal à décrire.

Je n’étais plus que sensations et excitations, frissonnante et frémissante…

Lorsqu’enfin nous nous sommes allongés, il n’a pas réussi à maintenir son érection.

La frustration  a été terrible. Je ne lui ai rien dit, je voyais bien qu’il était mal.

Mais au retour dans la voiture j’en ai pleuré…

Par soumiserevedeliens - Publié dans : bdsm
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:50

Mâitre RV a consacré sa journée pour dresser sa femelle -christine.
Il lui avait donné des instruction précise: elle devait trouver une chambre, s'habiller en pute et l'attendre.
Salope en devenir s'est exécuté, elle est m^me en avance, elle a le temps de se préparer.
soutien gorge balconnet et porte jarretelle rouge profond, presque bordeaux,  et noir , bas noir et chaussure à talons, robe léopard , oui elle n'est pas mécontente de sa tenue. Elle pense que cela plaira à Maître, l'imagine entrant dans la chambe, elle debout au fond, la t^te baisée, soon corps prenant appui par la hanche sur le mur, ses longues jambes tendues mise en valeur négligement par une cambrure du pied...
Mais cela ne se passe pas comme elle l'a prévu.
D'abord la porte ne s'ouvre pas, elle est verrouillé automatiquement, elle doit ouvrir à Maître. Ensuite celui ci est préocuppé, il a égaré son téléphone professionnel.
Il avait glissé de sa poche de veste dans son coffre, ouf il le retrouve.
Pendant qu'il est redescendu le chercher, femelle-christine essaye le "cadeau" de Maître: une cravache, noire, le bout en lanière de cuir. La tige flexible fent l'air en sifflant, salope-en-devenir est impressionné. Maître revient.
Tout de suite il prends les chose, ou plutôt sa chose en main. 
S'ensuit un tourbillon de sensation, vives et pénétrante que femelle -christine ne peut détailler minutieusement.
Ou alors c'est un roman qu'elle doit écrire...

 

saint.jpg

 

Juste dire que Maître la penche sur le lit, remonte sa robe de pute et lui administre sa punition.
Elle n'a pas été sage, ou plutôt a eu un comportement irrespectueux, a remis en cause son autorité et ne lui a pas fait confiance, elle doit expier.
Les coups de la cravache sont juste comme il faut, elle oscille entre plaisir et douleur.
Mais leurs régularités, et surtout leurs incessants et nombreuses claques la mène vers le chemin de la douleur, enrobé de plaisir, elle aime... Maître se fâche, elle ne compte pas, ne remercie pas?
Salope-en -devenir s’exécute, elle compte d'une vois hachée, cela apporte une autre dimension à sa punition, l'humiliation et le fait qu'en comptant, elle donne son accord à ce traitement...
S'ensuit le martinet, lanières qui forme un tube large et long, la sensation est différente. Elle sent sa peau recevoir des chocs plus larges,et devenir rouge, elle a le cul tout chaud, hum c'est bon...
Il la place entre ses jambes, le cul à l'air, lui fait embrasser ses pieds( qu'il a fort beaux, elle aime) et la cravache continue son œuvre...
Puis se fait plus dure, Ma^tre vient de voir qu'elle ne porte pas la chevilliére (boudu qu'elle a pesté dans la voiture, à mi chemin, quand elle s'est aperçue qu'elle l'avait oubliée). Maître n'est pas content , elle le sent bien dans la force des coups quelle reçoit...

Oui femelle Christine est bien punie, elle a maintenant en mémoire le traitement qu'elle risque si elle recommence à déplaire à son Maître.

Juste dire que Maître lui demande de s’allonger sur le lit. Elle le regarde couper des bouts de cordes, il lie ses mains puis ses pieds au montants en forme de petite poire du lit.
Elle est soufflée, d'habitude elle voit tout de suite les avantages qu'apporte un mobilier.
Là elle n'avait rien vu, c'est Maître qui s'est aperçu des avantages de ces excroissances.
Ainsi immobilisée, elle doit laisser les doigts de Maître sensuel s'introduire dans son vagin, il se sert de ses orifices comme il l'entends,elle devient sa chose, ne peut que se tordre un peu et gémir.
Maitre tente le fist, elle a trés peur tout d'un coup, se sait tellement étroite.
Elle lui dit, sa réponse" c'est plus excitant" Woui oui oui...
Mais après quelques tentative, il n'ira pas plus loin elle se sent rassuré il tient compte de ses craintes, merci Maitre.

Juste dire qu'elle se retrouve devant le miroir du couloir, bras attaché dans le dos, agenouillé fesse à l'air, pilonné dans son anus par Maître.
Elle oscille entre la douleur de sa joue qui frotte sur la moquette, de son genou coincé contre le mur et qui la lance, et le plaisir ressenti par le gros sexe vigoureux de Maître dans son petit trou.
Elle gémît, il lui dit durement de se taire. Elle serre les lèvres, laisse échapper des cris parfois, c'est quasi impossible de se retenir. Pourtant elle essaye..
Elle ne tient plus, c'est la douleur qui l'emporte, elle se délie et pose ses mains à terre.
(Elle s'en veut maintenant de son geste, en bonne soumise elle aurait du dire à Maître ce qui lui arrivait, et il aurait certainement remédié à la situation... Oui elle s'en veut).
Maitre, lui, continue son pilonnage, il lui tire les cheveux tel une queue de cheval et lui ordonne" regarde toi dans la glace"..
Elle n'ose pas , le regarde lui, voit son visage de Maître, qui redit: "TU NE ME REGARDE PAS DANS LES YEUX, REGARDE TOI" elle le fait, trouve insoutenable de se voir ainsi les traits tordus par la plaisir, ferme les yeux. Maître ne la laisse pas faire, l'ordre claque encore, elle se regarde à nouveau, voit son visage qui halète, ses seins qui ballotte, son corps utilisé par Maître...
Elle trouve en fait qu'elle n'est pas si horrible, en définitive... (Plus tard, cette image va la hanter. Son Maître derrière elle, son visage, le sien...)
Le plaisir est tellement grand de sentir le sexe de Ma^tre qui n'arr^te pas ses aller et venues sans ménagements qu'elle repart dans le plaisir, en fermant à nouveau les yeux.
Maître la laisse faire cette fois ci, il doit être satisfait de sa chienne, elle a obéi.

Plus tard allongé l'un contre l'autre, repus de plaisir, Maître sensuel lui explique ses manquements à sa loi, lui détaille ses devoirs, lui dit de lui faire confiance
" franchement tu complique tout, imagine toi sur un chemin.
Imagine que je je te prends la main pour te conduire, tu n'a plus qu'à te laisser mener".
Elle trouve cette image trés belle, elle sent que le pouvoir de cette évocation va la poursuivre longtemps...

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Mon Maître Sensuel
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  • : le blog d'une soumise, libre, du sud Ouest. Quand je parle de liberté, rien à voir avec un collier. Des Maîtres me font siennes, je suis en quête de rencontres, d'aventures humaines. Je ne sais qu'une chose: c'est que je ne sais pas grand chose.
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