Femelle Chrisitne a luttée toute cette semaine.
Pour ne plus lui répondre.
Arr^ter tout ça, cette histoire où elle ne se retrouve pas.
Bien sur il est câlin, tendre, sait alterner les moments de plaisir et de douleur soft comme elle aime vraiment…
Bien sur il lui envoie des texto avec des « tendres pensées »…
Mais aussi…
Après le choc qu’elle a reçu samedi dernier; dans un de ces mails, cette phrase : « A courir plusieurs lièvres on rentre bredouille »
Comme réconfort, trop fort ! Comme quand on dit à une fille qui vient de se faire violer « ah tu portais une jupe ? Coute en plus ? Ah ben ne t’étonne pas alors… »
Bien sur à la lumière de ses réflexions, et non plus du choc où elle a été plongé après la dernière séance avec M…S… , elle sait bien qu’il aurait voulu l’exclusivité de sa soumission.
Combien de mail lui a-t-elle envoyé pour lui expliquer son choix ? Et elle a été honnête.
Toujours. Et dés le départ.
Maîtres de l’instant. C’était sa recherche.
Et aussi, ce qui l’a aidée à se détacher…
Il ne lui a pas téléphoné, pas une seule fois pour la réconforter.
Il n’a pas proposé de la rencontrer pour la consoler (elle a eu plusieurs crises de larmes, jusqu’au mardi, tellement elle se sentait mal) .
Son dernier texto remonte à jeudi 1 er mai.
Terrible son combat pour ne pas lui répondre.
S’inventer une échappatoire.
Qu’elle a trouvé dans l’idée d’aller en club libertin, seule, ce qu’elle n’a jamais fait.
Et qu’elle a réalisé samedi. Cela l’a aidé à le maintenir à distance.
Elle le doit. C’est une relation toxique pour elle, et en fin de compte pour lui aussi : recevoir des mails d’une soumise qui lui crie son besoin de l’entendre, le voir, alors que lui ne partage pas du tout ce besoin, sauf si son sexe tout à coup a une crampe (boudu que je suis méchante, moi dés fois !)
Mais vraiment c’est comme ça que je le vois, m^me s’il nie farouchement que je ne sois qu’un cul sur patte pour lui…
Oui arrêter. Arrêter. Tenir bon.
Retourner en club, jouir encore et encore, pour l’oublier et s’évader ailleurs…
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