Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:14

Dressage de soumise stella le dimanche

31/3/2013 21h00

 

 

C’est tout alanguie que soumise sA vient ce soir caresser son clavier.
Oui fatiguée, mais la fatigue qui détends, celle qui apaise.
Parce que …
Maître S. lui a fais connaître des délices tout l’après midi.
Il lui avait tout d’abord ordonné de venir nue sous son imperméable.
Conduire en voyant ses cuisses justes parées des bas, se savoir sans aucun vêtement.
Peur qui pointe son nez, inquiétude, excitation, clitoris qui gonfle. Hmmmmm.
Quand soumise sA arrive, Maître vient la chercher.
Il lui ordonne d’ouvrir l’imper dans la voiture.
Elle s’exécute, un peu gênée, un peu inquiète aussi, et si quelqu’un arrivait ?
Puis il la fait monter pour aller dans la chambre d’hôtel.
Il lui demande à nouveau d’ouvrir l’imper.
Elle marche dans le couloir, les seins et le sexe à l’air.
Il lui intime l’ordre de remonter l’arrière du manteau et de faire voir ses fesses.
Elle panique un peu. Un bruit de clé derrière elle, quelqu’un qui sort ou qui rentre dans sa chambre.
Elle supplie mentalement Maître de se dépêcher d’ouvrir la chambre, viiiiite Maître s’il vous plait. Il semble prendre son temps, hiiiiiii !
Enfin ils rentrent dans la chambre. Elle exécute son ordre, enlève l’imper, garde les bas et les chaussures à talons, et s’approche de la table, couverte de gadgets et d’ustensile divers.
Maitre S. lui fais détailler tous les objets.
Un collier, auquel sont attaché des bracelets, attire son attention.
Maître lui attache au cou, ses mains sont entravées dans son dos. Maitre y attache une laisse.
« A genoux, pose ton front par terre. »
soumise sA s’exécute, écarte les jambes, sent les lanières d’un martinet venir lécher son clitoris et claquer sur son ventre.
« TU N’OUBLIE PAS QUELQUE CHOSE ? » soumise sA se sent confuse tout d’un coup,
elle déplait à Maître, et ne sait pas ce qu’elle a oublié… « Tu ne compte pas, ça fait combien là ? »
Ha oui, vite : « merci Maître, 5 –merci Maître-6 » jusqu'à 10. Sa peau blanche marque tout de suite. Les lanières orneront son ventre d’une constellation de petits bleues, elle porte sa marque, elle se sent fière.
«Monte sur le lit »
Heu oui pas facile à genoux sans les mains…soumise sA se tortille, gigote, se contorsionne, ses fesses frétillent,

( elle imagine que cela fait sourire Maître), ouf elle a réussit.

Mais soumise sA se rends compte que tout raconter prendrait des pages et des pages.
Alors juste dire que Maître Sévère a continué le dressage de sa gorge.
Son sexe si long et épais va jusqu’où aucun autre n’est allé, elle apprend à vaincre sa glotte qui lui provoque des hauts le cœur.
Maître S. va loin, si loin, la fait tenir longtemps, si longtemps…
Maître apprécie ses progrès, soumise sA est fière.
Ils le feront plusieurs fois pendant la séance.
sA doit apprendre à avaler aussi sans ouvrir la bouche, le sexe de Maître presque au fond...Bouche fermée, c'est à dire sans qu'une goutte de sperme ne s’échappe; le maitre ayant prévenu qu il lui giclerait aussi à la figure et sur le corps mais pas maintenant
Tentative de fist. apprentissage progressif au fist vaginal, le maitre ayant évoqué le fist anal ...C'est la deuxième fois. sA est vraiment étroite, se sent anxieuse, est ce que c'est possible pour son corps? Maître la force m^me si elle dit le safe word.
Curieusement, elle ne lui en veut pas. Il a su trouver les mots pour la rassurer... Madame Confiance passe la t^te par la porte et s'installe.
(Maître lui dira par la suite qu'il ne l'a pas forcée. Ha émotion quand tu nous tiens, comme tu transforme tout!)
Douche dorée. Grande première.
Le maitre a décidé que sA garderait les première fois la bouche fermée
Sentir ce liquide tout chaud lui glisser sur la poitrine, le ventre, s'insinuer sur son clitoris qui en devient tout vibrant.Hmmmm sA aime, elle proposera innocemment à son Maître Sévère des verres d'eau. Le pov, surtout qu'il ne se déshydrate pas! (Sourire)(ouille la punition pour avoir osée!)

eau.gif

Puis Maître la fera jouir à plusieurs reprises, trois fois.
Il aime investir ses orifices de nombreux accessoires aussi varié que surprenant.
Il jouera avec son plaisir, s'arrêtant quand il sentira que sa chienne est prête à jouir. Elle halètera, complétement tendue vers ce plaisir qu'on lui enlève. Maître S. est trés joueur.
Après le deuxième orgasme, alors qu'elle le remercie , il recommence son pilonnage sans lui laisser le temps de finir de parler, en lui disant: "c'est moi qui décide quand c'est fini"
Le troisième orgasme en sera d'autant plus fort, se sentir en plus sous son pouvoir entier, sa domination...

Oui sA est toute alanguie ce soir.
Elle a pensé à manger du miel, pour apaiser sa gorge.
Sa marque. Encore là au plus profond. Et sur sa peau...
M e r c i.

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:13
forcée oui pas violée‏

30/3/2013 22h32

 

 

Je porte ces réflexions depuis longtemps, et j'avais envie de les déposer ici.
Sur ce que je lis parfois et qui est décris comme "le fantasme du viol".
Le fantasme du Viol...
je crois que le terme est trés mal choisi.
Je suis sure que toute femme réellement violée dans sa vie , ne pourrait pas r^ver d'un tel moment.
C'est un temps où vous n'existez plus en tant que femme.
Vous n'êtes plus rien, vous devenez un bout de viande, qu'on s'amuse à humilier d'une façon qui nie votre humanité.
Et si vous mouillez dans ces moments là, sachez que c'est un réflexe protecteur de votre organisme.
Pour atténuer la douleur.
Si vous éprouvez du plaisir, sachez que c'est purement mécanique. Que votre corps finit par abdiquer devant les sollicitations répétés.
Mais pour votre esprit, votre âme, qui lui ne veut pas, pas de jouissance.
Et si par la suite vous n'arrivez plus à avoir d'orgasme, sachez que c'est normal.
Et provisoire. Qui peut durer quelques années, mais ça passera.
Quand vous trouverez celui qui, à force de patience, de câlins, de douceur mais aussi de détermination à vous faire jouir, apprendra à votre corps la beauté de l’orgasme.
Celui qui n'aura rien à voir avec la brute DÉGÉNÉRÉ qui vous a dérobé votre capacité au plaisir.
Cet primate, ce cerveau-bite, qui a cédé à ses instincts destructeur, qui a pris, sans se poser de question.
Et je n'ose réaliser ce que ça devient avec l’effet de groupe...

Alors que le fantasme d'être forcée...
Dans les r^ves, oui bien sur on peut imaginer être prise par un inconnu. C'est du r^ve, on ne risque rien, on contrôle tout.
C'est de l'ordre du fantasme.
Et quand on veut le réaliser...
On choisit quelqu'un avec qui il y a de l'accroche, du jeu possible. Et avant toute chose, de la confiance et surtout du respect.
Oui être forcée, à avoir une jouissance qu'on nous arrache, être prise par ses orifices, en fonction bien sûr de ses capacités et de ses limites...
Pouvoir dire de spetits "non non non" mais veulent dire "oui" parce qu'on a la voix gorgé de désir.
Se sentir amenée au plaisir, celui qui nous fait peur, mais qui est si bon une fois là.
S'entendre être traité de tous les noms, mais savoir que ça ne reste qu'un jeu.
Connaître les grandes lignes du scénario.
Se donner à un Dominant qui vous force à subir , plus loin, encore plus loin, le plaisir qu'il a décidé de vous octroyer...
Oui juste du jeu, délicieux, orgasmique.

Mais non, pas violée, ho non.
Par soumiserevedeliens - Publié dans : Réflexion d'une soumise
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:09

12h20… Houps pardon je me suis laissé distraire par des trucs à faire, je n’ai pas vu l’heure passer.

Je commence donc ce que vous m’avez ordonné.

Je caresse doucement mon clito, l’effet est immédiat, il se gonfle, et une douce chaleur envahit mon bassin…

Je sais que je dois arrêter avant de jouir.

Alors je n’insiste pas trop, j’arrête et le sent toujours aussi gonflé, qui titille mes sens et me ferai presque frissonner.

Faut-il que j’ai envie que cela continue avec vous pour vous obéir ainsi.

Mais vous avez raison, l’abstinence ,ou plutôt l’excitation débouchant sur la frustration prend un tout autre sens quand on le subit sur ordre de son Maître.

Qu’on sait que ce Maître a un but précis, et qu’il vous amène exactement là ou il veut.

Reh oups, je n’ai pas prononcé les phrases, ho boudu !

Bien à 13h je le ferai.

Argggg.

Je sens que ça va être terrible de se retenir.

Déjà que là je suis obligé de serrer les jambes très fort, pour essayer d’apaiser ce feu…

 

13h.

Je me concentre, je me murmure la phrase, et je commence mes petits cercles concentriques sur le clitoris avec deux doigts.

«  Je suis la salope de Mon Maître, je le fais parce qu’il me l’a demandé » je me le répète comme un mantra.

Hooouuuuu terrible, mes cercles ont beau être le plus doux possible, c’est énorme la sensation qui monte.

Je vous avoue que je n’ai m^me pas tenu une minute…j’ai préféré arr^ter, trop peur de jouir et de casser le jeu.

Délicieux, je dois dire.

Bon, jambe croisée très très fort, j’attends 14h.

 

(je ne porte pas de culotte, pour vous plaire Mon Maître, et je dois avouer que j’aime beaucoup la sensation du clitoris qui se fait caresser par les petites lèvres quand je marche…c’est si doux)

 

Est-ce que vous bandez un peu en lisant tout ce que j’écris ?

J’espère en tout cas vous procurer un peu de plaisir, au moins celui d’être obéi.)

 

 

14h

Cette fois j’ai votre phrase exacte, je suis allée la chercher sur ma messagerie, il me semblait bien que j’oubliais quelque chose : « je suis la salope de maitre RV . C est pour vous que je me caresse mon maitre », je la répète, mes doigts s’activent sous ma robe, pas de slip ou culotte qui font obstacle, je suis comme vous le souhaitez, prête à être prise à votre convenance et suivant vos désirs…

Je ferme les yeux, je vous imagine en face de moi, vous revoit hier sur ce parking, quand vous m’avez tenu dans vos bras. Hummm c’est bon, je serre les lèvres, ce plaisir qui monte, qui monte.. .Cette fois ci je tiens 3 mn, mais je ne veux pas plus..

Jambes serrées, je contracte tout à l’intérieur, mon anus, mon vagin, pour enserrer mon clito et essayer d’éteindre le feu.

Hoooooooooooo….

 

Et je trouve votre message de 12h. J’en suis toute honteuse, j’étais en retard.

Décidemment, vous allez me trouver vraiment légère sur la ponctualité,

Houille houille houille (sourire).

Mais je vous rassure, depuis 12h20, je guette l’heure.

M^me que des fois ça ne passe pas assez vite…

 

15H

Je m’assois face à mon ordinateur, je suis sur la mezzanine de mon appartement.

J’écarte les cuisses, passe la main sous ma robe qui remonte presque au pubis.

Mes doigts se posent, et commence leurs rotations sur mon clito qui gonfle instantanément.

J’ai la respiration qui s’accélère, je commence la phrase, je sens que j’atteins un palier de plaisir fort, si fort, ça redescends, je continue, mon souffle s’accélère encore plus..

En bonne normande, je suis sure que mes joues se sont empourprées, je sens mon cœur qui bat plus vite « je suis la salope de maitre RV . C'est pour vous que je me caresse mon maitre ».

Stop il faut que j’arrête, je ne sais pas si je vais tenir encore longtemps…

A chaque fois que je dis votre phrase, j’ai des frissons qui me parcourent partout.

 

Pffff, je dois me calmer, fermer les yeux, souffler doucement, et surtout surtout tout serrer en bas…

Maintenant j’attends 16h.

Pour vous envoyer mon compte rendu.

 

J’espère que vous serez content.

C’est la première fois que je réalise ce type de chose, sur commande, sans la présence du Dominant.

(toute petite voix) Et ça m’a plus.

Merci Mon Maître.

 

Femelle-Christine

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Mon Maître Sensuel
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:05

récit fictif pour Anodin
                                                                                                                                                                                 29/3/2013 11h08

 

Comme Anodin me l'avait demandé, j'ai enfin pu écrire, avec un Ma^tre J_Claude19 (Nous avons une relation d'écriture, ne nous sommes jamais vu - Je le remercie ici de sa participation) un récit mettant en scène une écolière et un Maître.
J’espère que vous aimerez, bonne lecture.

Titre: le Ma^tre et l'écolière Aurélie.
Scénario: R^vedeliens
écriture : Ma^tre J_Claude19 et R^vedeliens.
(récit sans prétention, juste pour le fun...)

Le Maître reçoit une jeune femme pour une leçon particulière.
Aurélie se présente à la porte d'entrée en robe longue et elle apparaît, tête baissée, toute timide, laissant chuchoter un "bonjour Maître" à peine audible!
Le Maître la prend par sa main toute humide de crainte et d'angoisse et la fait entrer dans son bureau à demi éclairé par un soleil tamisé....et lui demande de s'asseoir dans un fauteuil très accueillant.
Le Maître prend place derrière le bureau pour exercer son droit d'autorité et poser les premières questions d'inscription à la jeune fille rouge de timidité...
Aurélie est assise, dans le fauteuil, toute sage et apeurée, n'osant pas lever les yeux, les mains en poing sur ses genoux, les deux jambes serrées....
Le Maître lève le ton: " Ma petite Aurélie je t'avais dit de te présenter en petite fille et tu te présentes en dame: je voulais te voir en chemise blanche, petite cravate, soutien-gorge blanc, jupette, socquettes blanches et tennis".
"Tu n'as rien fait de tout cela et tu vas le regretter ...." Continue de vociférer le Maître!
"Je vais voir tes dessous...mets-toi à genoux sur le fauteuil et présente-moi tes fesses en soulevant ta robe ridicule!"
Aurélie, petit fille du haut de ses 45 ans, s'exécute et se positionne pour le plaisir du Maître!
Celui découvre, en effet, que la petite soumise avait mis une petite culotte blanche en nylon tout en montrant de jolies fesses blanches.
Le Maître s'approche d'elle, saisit la cravache posée sur son bureau et la lève pour un premier coup!
Le sifflement de l'objet punitif fait siffler l'air tant la frappe est violente que celle-ci claque sévèrement la fesse gauche d'Aurélie.
La fille lâche un "Aïe" de douleur, sursaute de surprise alors qu'une marque rouge signe la punition de la petite qui ne peut s'empêcher de porter une main à sa fesse tant elle est devenue douloureuse!
"Enlève ta main, crie le Maître, que je continue à te punir, petite insolente".
Non, Maître, s'il vous plaît, arrêtez, vous me faites trop mal!" pleurniche la fillette!
"Ôte ta main" hurle le Maître! Et baisse ta culotte que je vois ton cul entièrement et mets les mains sur la tête!"
Et Aurélie de s'exécuter, baissant sa petite culotte de nylon jusqu'aux genoux et présentant ses deux fesses dont l'une marquée en rouge par le coup de cravache!
Et c'est alors 10 coups de cravache qui s'abattent sur les deux fesses d'Aurélie qui sursaute à chaque coup, qui lance des "aïe" de douleur, et qui ne peut s'empêcher de frotter, instinctivement, de ses deux mains ses fesses devenues rouges vif......

Grimaçant, Aurélie quitte le fauteuil sur ordre du Maître, laissant retomber sa robe sur sa culotte coincée à mi-cuisses!

Le Maître Lui ordonne alors:
"Mets-toi nue"
Aurélie est incrédule, n'ose pas, se fige.
Mais la punition qui vient de se dérouler lui donne la motivation pour obéir.
Elle fait passer par dessus sa t^te sa robe. Le Maître savoure les bras blancs tendus, la poitrine relevé, et les petits bourgeons qui semble lui dire: "prenez moi en bouche, Monsieur, prenez moi en bouche"
Le Maître s'ébroue mentalement, il n'est pas temps pour ce genre de jeux.
Il observe la culotte qui file le long des longues jambes d'Aurélie.
"Bien, tu comprends que toute tentative de rébellion te vaudront encore la cravache, n'est ce pas Aurélie?
- Oui monsieur, répond-elle d'une toute petite voix
- Je n'ai pas entendu? Gronde le Maître
- Oui Monsieur, se force à dire tout haut Aurélie.
Le Maître a un petit sourire en coin. Bien, qu'elle s'entende dire qui est le Maître ici…
- Tu vas maintenant enfiler cette tenue, lentement, en prenant ton temps.

Aurélie suit du regard le doigt du Maître qui montre un tas d’habits.
Elle enfile donc lentement, comme Il l'a demandé, la petite jupette (elle est extrêmement courte, on voit le début de ses fesses, Aurélie en rougit), le chemiser à pans tout blancs (elle finit par comprendre que, comme il n'a aucun bouton, elle doit le nouer sous sa poitrine. Ses mamelons pointent sous le tissu très fin), la petite cravate ; s'assoit sur le fauteuil pour enfiler les chaussettes écossaises et les tennis blanches.
La voix puissante de Maître la tétanise:
"Écarte tes cuisses, quand tu t’habille. Attention, tu commence à aller trop vite"
Elle ralentit, ouvre grand ses cuisses, sent son visage s'empourprer: son sexe est grand ouvert, offert au regard du Ma^tre, qui tel un félin devant sa proie, savoure cet instant.
Elle finit par lacer la dernière tennis.
"Bien, tu es une bonne soumise.
Nous allons maintenant commencer ta leçon particulière, pour MA Soumise Particulière.
Va derrière ce pupitre, assois-toi et prends un stylo.
Aurélie se dirige vers l'endroit indiqué.
Elle sent le tissu de la jupe qui se lève à chacun de ses pas, ses mamelons qui frottent sur le tissu du chemisier.
Elle voit ensuite le tabouret posé devant le pupitre et fais un demi tour si rapide que Ma^tre, qui l'a suivait, manque ses fesses qu'il voulait tâter.
"Mais, Maître...
-Oui Aurélie, tu n'aime pas le siège que je t'ai préparé? Tu souhaite avoir ta leçon, me semble t-il, c'est bien là l'objet de ta présence.
Alors assied toi, empale toi bien ma Douce, tu vas connaître des sensations qui vont t'aider à progresser. ALLEZ."

Aurélie avance vers le tabouret, Maître a fixé dessus un énorme gode, il est tout luisant de lubrifiant.

tabouret.gif

Aurélie se positionne, sa jupette se lève encore plus, Maître en profite et claque la fesse gauche. Aurélie sursaute, baisse son corps tout doucement, elle a peur de cet engin, et pourtant elle sent que l'excitation la gagne.
"Hou mais que tu es lentouillette, allons ma fille, baisse toi encore...
Encore...
Encore…
Bien.
Maintenant, remonte ton bassin, voilà, tout doucement, là, baisse le, encore, encore...
Ne bouge plus. Prend le stylo, la leçon continue, je te dicte:
Ce que la salope Aurélie fais quand elle regarde un film porno, virgule,
elle remue le bassin sur son gros gode...
AURELIE! Quand je te dicte quelque chose, tu le fais aussi, petite idiote!"
Maître a l'air fâché, il repart derrière son bureau.
Ainsi empalé, Aurélie commence à gémir doucement, c'est si bon...
Maître revient, et lui assène un coup de badine sur les fesses, qui la fait se tortiller sur sa chaise.
Elle continue à écrire sous la dictée.
Parfois Maître pose la badine et appuie ses mains sur les épaules d'Aurélie.
Elle tente une fois de se lever, elle va jouir!
Mal lui en prends, c'est trois coups de badine qu'elle reçoit.
Maître repart, va chercher dans un coffre qu'elle n'avait pas vu des cordes, et lui lie les chevilles aux pieds du tabouret.
Puis il lui attache les mains, et passe les cordes à deux anneaux, fixé sur les cotés du pupitre.
Elle peut encore difficilement écrire, cela fais rire Maître...
Il continue sa dictée, et son petit jeu, en lui appuyant sur les épaules, lui dicte un texte de plus en plus cochon, elle sent qu'elle mouille comme jamais auparavant..
Dés que Maître voit une faute, il lui assène des coups de badine sur les fesses.
C'est lui qui choisit le nombre, en fonction de la faute; un pluriel, un accord, une conjugaison...
Parfois c'est sur ses seins que la punition tombe, il serre fort ou doucement les fins tétons, qui s'excitent de plus en plus...
Maître décide la fin de la dictée.
Il lui bande les yeux et grimpe devant aurélie, sur le pupitre.
Dans cette position, Aurélie a la bouche juste à la bonne hauteur, Maître veut lui donner une leçon buccale.
Il enfourne son engin aussi loin qu'il le peut, Aurélie suffoque, Maître se retire, puis recommence.
"BOUGE TON BASSIN, continue, ne t'arrête pas."
Et Maître entends enfin les cris de jouissance de son élève.
IL peut enfin de laisser jouir, et gicle dans la gorge d'Aurélie.
Qui, soyez en sûr, reviendra.
Elle s'est promis de progresser en orthographe...

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Fantasmes
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:03

Nympho, les souMises ?
                                                                                                                                                                                     12/3/2013 22h31

Pour Faire écho à la question d’On_joue_ensemble sur son blog délicieux, « il est légitime de se poser la question : pourquoi si peu de femmes sont-elles intéressées par le sexe ? Car, jusqu'à plus ample informé, elles représentent à peu près la moitié de la population humaine ! » et à une phrase de Syrug quand au coté insatiable de sa Juliette
( sur son blog également délicieux, « Quel empressement touchant à me plaire et à remplir cette béance jamais rassasiée, mais qui demande pourtant toujours à être comblée! » ), soudain je m’interroge
.
Et si les soumises étaient des nympho ? Nympho, c'est-à-dire plus souvent dans le désir sexuelle que la majorité des femmes, et non pas au sens pathologiques du terme (Le terme de nymphomanie viendrait de Nymphe, une déesse de l'antiquité Gréco-romaine, représentée le plus souvent par une jeune femme nue, et du latin mania qui signifie folie. Il s'agit plus précisément d'une femme au désir sexuel effréné et jamais assouvi, une véritable pathologie cependant très rare. Le sexe est pour elle une quête jamais satisfaite, pouvant aller de 5 à 10 rapports par jour ! Ce comportement, souvent moqué, traduirait une grande souffrance et impliquerait une notion de dépendance. Il s'agirait d'une conduite dite addictive au même titre que la toxicomanie, l'alcoolisme, les troubles du comportement alimentaire. La nymphomane en retire pourtant peu ou jamais de plaisir... on imagine alors la souffrance infligée. Source Bloc.com :



Nympho au sens de la recherche du plaisir, de l’envie de l’assouvir, du désir que l’on veut satisfaire…
Sans que cela devienne pathologique, obsessionnel, et n’empiète pas sur la vie sociale.
Oui je m’interroge.
Cela expliquerait-il l’asservissement sexuel volontaire au désir du Maître ?
L’envie que leurs corps deviennent l’instrument du dominant, qu’il use et abuse des tous ses orifices ?
Lorsque je lis des témoignages de souMises, je suis souvent étonnée, d’une part que leurs attentes fassent écho aux miennes, et d’autres part que je retrouve souvent les m^me éléments
D’une soumise à l’autre.
Comme si nous étions sœurs d'esclavages...
Oui je m’interroge.

 

 

miroir.gif

 

(photo extraite du site: http://busab.canalblog.com/archives/2009/04/09/13325715.html )

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Réflexion d'une soumise
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  • : le blog d'une soumise, libre, du sud Ouest. Quand je parle de liberté, rien à voir avec un collier. Des Maîtres me font siennes, je suis en quête de rencontres, d'aventures humaines. Je ne sais qu'une chose: c'est que je ne sais pas grand chose.
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