Récits de séance

Lundi 4 novembre 1 04 /11 /Nov 22:16

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Mon Maître Jean m'a confié à Monsieur Pat.

 

L'idée est que Monsieur Pat me dresse à être docile. Que je me laisse sodomiser par plusieurs hommes.

Je dois aussi les sucer goulument et conscieusement, que j'y mette tout mon coeur et que je ne réchigne pas à l'ouvrage...

La premiére fois Mon Maître était présent, et trois hommes m'ont pris.

 

Ce dimanche aprés midi, j'ai du satisfaire 5 hommes.

Tout d'abord un ami de Monsieur Pat. Ma poitrine lui a été offrete, il a touché pour s'exciter. Mon 95 C lui a plu...

Puis je l'ai sucé, comme je sais faire, en douceur au début, en mouillant autour de son vit pour que ma gorge devienne un écrin bien glissant , doux, ma langue caressant la partie la plus sensible du gland. La prise en bouche , losque j'ai bien humecté toute la longueur, se fait ensuite pompe, je suce le gland, ma main branle la hampe et ne lache pas. Ma bouche s'active aussi souvent de bas en haut.

J'ai tenté une gorge profonde, mùais j'ai senti qu'il n'aimait pas.

Il a joui en gémissant...Il est ensuite parti.

 

Monsieur Pat , resté tout seul, m'a dit de m'allonger sur le dos sur le canapé blanc .
Il m'a ordonné de me caresser le clitoris et les seins.
Il a mis son sexe dans ma bouche.
De devoir le sucer, devoir lui obéir sans refuser; devoir me caresser en m^me temps devant lui m'a énormément excitée,  j'ai joui du clitoris assez vite et très fort...
Comme ça a sonné peu après, il m'a ordonné de continuer à me caresser.
Ce qui fait qu'après une dicussion dans l'entrée entre Monsieur Pat et le premier participant, celui ci a ouvert la porte du salon et m'a vu ainsi.
Je dois dire qu'au début, me caresser alors qu'un inconnu allait rentrer m'a beaucoup gêné.
Mais très vite, le plaisir a pris le dessus, et lorsque l'homme est rentré, je me caressé très activement...Il est venu tout de suite me lécher la chatte, tout en félicitant Monsieur Pat sur ma beauté.
Il a aussi ajouté que j'avais un beau sexe.
Les autres sont arrivés ensuite, je sucait le premier homme, je pense que cette vue les a excité tout de suite, ils bandaient quand ils se sont déshabillé.
J'ai sucé leurs queues longuement, en les pompant bien profondément, en faisant des georges profondes quand ils en avaient envies...Ma bouche devenait un sexe qui les aspiraient...
 
Les sodomies ont été très fréquente, cette fois ci.
Ils poussaient tous assez fort avec leurs sexe à l'entrée de l'anus, c'était un peu douloureux et en m^me temps tellement bon de sentir passer ces queues dans mon anus...L'un deux aimait me stranguler en m^me temps qu'il m'enculait. Je devais subir, soumise, et ne pas me débatre.
Mais à part Monsieur Pat, les deux autres ne m'ont pas donné  d'orgasme anal.
Ils faut dire qu'ils étaient assez jeune, et leurs sexe pas très épais, très fin en fait. Leurs va et vient m'a quand m^me donné beaucoup de plaisir anal, mon cul se souveint encore de ces pénétrations succéssives.
Le troisième a réussi une fois à me pénétrer, vaginalement, il a dit qu'il se branle sans arrêt et qu'après il a du mal à bander.
Dommage, lui avait un sexe large, avec le gland plus épais que le membre.
C'est typiquement le genre de sexe qui me fait frémir vaginalement, car la partie charnue et épaisse frotte sur mon point G, hmmmmm trop bon...
 Dailleurs il connait la technique avec les doigts qui me rends fontaine, ma cyprine a coulé plusieurs fois, et les orgasmes en étaient intense et violent.
Merci Mon Maître de me livrer ainsi à Monsieur Pat, et de lui confier mon dressage.
Il souhaite me faire faire l'amour avec une femme, j'avoue que c'est trés troublant...et trés excitant.
Je quitte ainsi un peu le BDSM pur, soft comme j'aime, et j'arpente le chemin du libertinage.
Ho bien sur j'avais commencé seule, en me rendant dans les clubs, en me laissant prendre par plusieurs hommes, ou par un seul.
Mais là je le fais avec vous,et ça change tout...
Merci merci Mon Maître. 
Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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Vendredi 1 novembre 5 01 /11 /Nov 20:21

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  (couverture originale de Anna M, copyright libre, ses oeuvres ici :http://fr.360.yahoo.com/profile-DpfC9kEwdahoPmUgTdLl...)

 

 

"Mon Emmanuelle,

 

Tu étais attachée sur le ventre, les mains reliées et encordées aux chevilles, tes fesses écartées comme jamais. Je jouais avec ton anus avec ma langue, mon doigt, mes doigts. Un gode vibrait doucement dans ton sexe. Je le sentais a travers mes doigts à l'intérieur de ton cul. Je m'amusais  à transmettre les vibrations à ton cul. Ca avait l'air de te rendre complétement folle...Comme tu étais bayonnée serrée, je ne pouvais entendre que tes grognements de contentement et je continuais longtemps à jouer avec ton cul. De temps en temps ma langue remplaçait mes doigts et te massait doucement le trou. Ensuite, j'ai enlevé le gode, je me suis mis totalement derrière toi, je t'ai longuement excité les tétons et le clito, pour continuer à te rendre folle de désir, mais sans t'amener à la jouissance. Tu avais beau remuer tes fesses dans tous les sens, je ne cédais pas à ta demande. Lorsque ton excitation a été à son apogée, je me suis allongé face à ton cul, sur le dos. J'ai commencé à te masser l'intérieur du vagin avec deux doigts, tu sais là ou ca te rend dingue. Je t'ai stricitement interdit de jouir. Je sentais ton excitation monter de plus en plus sur mes doigts. Et puis, tout en massant ton vagin de plus en plus vigoureusement, j'ai soudain rentré entiérement le gode dans ton cul en faisant des mouvements de plus en plus rapide. J'ai senti une énorme jouissance te submerger. J'ai fermé les yeux et j'ai reçu une dose incroyable de cyprine sur mon visage qui se trouvait juste sous ton sexe. Tu étais arrivée toi aussi à me faire un bukkake en jouissant comme jamais. J'entendais tes grognements, tes cris éttoufés. Je t'ai retournée, je t'ai enlevé le bayons serré. Allongé sur toi, je t'ai fait longuement l'amour par la bouche avant de me vider longuement au fond de ta gorge. Comme un sexe, tu n'as pas bougé et tu m'as laissé simplement me vider dans ta gorge, ta bouche. Ensuite pour finir, j'ai voulu te prouver que le fruit de notre jouissance n'est pas abject. Je t'ai longuement embrassé, et nos langues entremélées ont lentement avalé le sperme qui remplissait ta bouche....."

 

Merci Mon Maître Jean de me faire connaître autant de moments intense.

Vous avez réalisé ce que vous m'aviez décrit en me demandant de tenir, jambes écartées, au dessu de votre t^te, les mains lies au collier que vous aviez ensséré à mon cou.

Vous êtes celui qui sait me faire couler comme personne.

Et la jouissance est à chaque fois tellement forte, que je ne peux rien retenir...

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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Samedi 10 août 6 10 /08 /Août 13:21
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Elle avait rendez vous à 10 heures, devant la gare.
Maître Jean est là, stressé par l'idée d'être vu par sa femme. Elle se sent impatiente d'arriver, afin qu'il puisse s'apaiser...Enfin, malgré des travaux qui les ont forcé à  faire des tours et détours, ils arrivent dans l'appartement. Tout de suite Maître Jean l'attrape, il ne veut pas la lâcher, et ça sera comme ça tout le reste de leurs petite bulle de bonheur...
 
Elle souhaitait prendre une douche,  mettre une petite robe léopard, enlever son gloss qui souligne ses lèvres mais laisse des traces partout. Maître ne le veut pas, il veut commencer tout de suite.
Il la mène devant un fauteuil, où il s'installe. Il veut qu'elle caresse de ses lèvres son short. Le gloss laisse des traces, elle souhaite faire plaisir à son Maître, elle est agenouillé devant lui, cette trace la désole.
Il veut qu'elle se déshabille, Moment qu'elle redoute, mais elle se sent bien avec Maître Jean. elle enlève son haut, son soutien gorge, sa jupe...Maître Jean l'emmène dans la chambre, la caresse, veut qu'elle s'occupe de Lui. Elle le déshabille, puis le suce langoureusement.
Maître la laisse être audacieuse dans ses caresses, sur son sexe, ses bourses, son anus...
Maître l'arrête au bout d'un moment. Il lui attache les bras dans le dos, il a choisi un collier souple de chien. Elle sent tout de suite son clitoris qui gonfle, c'est le m^me effet à chaque fois que ses poignets sont liés..
Il la mène à la salle de bain, dans la douche.
Plaqué contre le carrelage, elle ne peut pas bouger , Maître lui fait écarter les jambes et la pénètre avec ses doigts. Maître Jean connait la zone qui la rends fontaine, et lui procure un plaisirs énorme.  Mais elle sait aussi que peu d'hommes savent lui donner des orgasmes comme ça...
Mais c'est sans compter sans la ténacité de Maître Jean. Il lui a dit depuis leur premier échange de mail, et elle s'est aperçue que ce n'était pas des paroles en l'air. Elle a connu (et connait ) des Maîtres qui prennent leurs plaisirs. Ne pensent pas forcément au sien. Sans méchanceté aucune, satisfait d'eux et des gémissements qu'ils lui ont arraché. Rien de tel avec Maître Jean. Lui veut ses orgasmes
Il ne la lâche pas tant qu'elle n'a pas joui. Et là il va aller la pousser dans ses derniers retranchements. Elle jouit plusieurs fois, l'entends s'exclamer joyeusement "Ca coule, mais ca coule! Incroyable!"
Oui elle sent sa cyprine couler encore et encore, par jet fluide sur son poignet, sur ses cuisses, à l'intérieur de son vagin...Elle gémit sans pouvoir se retenir, parfois c'est si fort qu'elle crie de plaisir, ne peut rien retenir, ça sort de partout, les orgasmes se succèdent, Maître Jean ne s'arrête pas...
Parfois son buste se penche, elle perds le contrôle du haut de son corps. Sa jambe gauche est attaché au robinet, elle est largement ouverte devant Maître Jean, qui en profite et explore son vagin comme un expert...
Il pince parfois ses seins, il sait qu'elle aime ces sensations...Il détache ses mains, et les attache à nouveau.
Cette fois ci croisés devant sa poitrine, la corde enserre au final  l'arrière de son cou.  Il lui ordonne de caresser ses mamelons, elle s'exécute.
Maître Jean ne la laissera pas s'arrêter, lorsqu'il s'apercevra, à plusieurs reprises, qu'elle a stoppé ses caresses, il lui intimera, d'un simple mouvement de menton et d'un  regard, de continuer.
Soumise obéissante, elle le fera...
Il la fera jouir encore et encore, elle se laissera porter par les vagues des orgasmes successifs.
M^me quand il lui dira qu'il arrête, il continuera par deux fois... Doux supplices d'être à la merci d'un Maître qui ne lâche pas, et jouit cérébralement des orgasmes de sa soumise.
Elle se sent vidée, langoureuse, tout simplement heureuse d'avoir trouvé un Maître qui assure, et qui partage ses fétiches de cordes.
Il adore attacher...
 
Maitre Jean a des phantasmes d'urologies.
Il  veut que sa soumise urine pendant qu'il la lèche, ce qu'elle fait. Plus tard elle devra laisser Maître Jean lui uriner sur la langue. Elle sentira le gout âpre de l'urine sur sa langue, le liquide chaud s'écouler sur sa joue, son menton, le torse..
 
Il finiront par se doucher, puis mangeront les sandwich et le melon jaune qu'elle a apporté.
 
Les jeux reprendront très vite après le repas...
Il a préparé le lit. Cordes à chaque pieds.
Il l'attache solidement , ses bras et ses jambes sont tirées, ses fesses à dispositions de son Maître.
Qui va jouer avec son petit trou, Maitre Jean a apporté un petit god qui vibre.
Maître Jean joue avec ses orifices, son vagin, son anus, son clitoris...
Elle vibre de désir et de plaisir.
Plus tard Maître Jean continuera, sa soumise sur le dos.
Il inspectera son vagin, puis continuera exclusivement sur son clito. Sa langue, vibrante, pointue, ses doigts, le god va la mener sur un chemin de sensations incroyablement fortes, qui finiront par la faire jouir.
Elle aura juste le temps de lui dire 'Maître je crois que je vais jouir" avant que son orgasme n'explose dans son cri..
Elle est extrêmement reconnaissante envers son Maître. Elle joui extrêmement rarement du clitoris avec un Maître.
Mais Maître Jean , fidèle à lui m^me, n'a rien lâché.
Il a tenu compte de sa nature féminine, si lente à venir de cette façon. Il a tenu bon, sur la durée.
Oui elle lui en est extrêmement reconnaissante, et épatée par sa ténacité.
 
Ensuite il voudra qu'elle se soumette, qu'elle reste sage pendant qu'encore couché sur le dos, jambes écartées, il se masturbera sur son visage et éjaculera à gros bouillon... Elle aura la face presque entièrement recouverte.
 
Plus tard, ils auront un long moment de câlins et de tendresses.
Elle aime ces temps où les corps enfin apaisés laissent les esprits échanger.
 
Après un en cas de fruits (p^ches et oranges) ils partiront chacun de leurs cotés.
Elle conduira lentement, le cops alanguie et l'esprit heureux.
Oui elle est prête à revoir son Maître,
Maître Sérial Orgasmeur...
 
Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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Mercredi 7 août 3 07 /08 /Août 16:41

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Cela a commencé banalement par un échange de mail. Elle a expliqué son envie d'être attachée. Maître H lui a répondu. Il se sont rencontré. Une premiére fois autour d'une Tonelle. (flash: se voir attachée, mains en l'air aux poutres de cette tonnelle, jambes écartées par une barre...)

Elle avait peur. Elle ne ne le connait pas encore, qui est-il vraiment?

Une brute qui ne pense qu'à donner de la douleur?

Où un Maître comme elle les aime, tout en délicatesse, fermeté, rigueur et inventivité?

Elle le pressent déterminé à vivre cette aventure avec un maximum de plaisir.

Il lui raconte. Ses jouets  et ses envies d'achats(une machine funck? Woua!). Elle le sent amoureux de sa femme, c'est , dit-il, "son phantasme". Au moins il ne tombera pas amoureux d'elle. Elle ne le souhaite pas, elle ne veut pas d'un homme qui l'aspire dans son amour.

Ca fais trop mal. Elle a juste envie de vivre des moments de jeux, intense. Délicieux.

Le reste...

Elle le trouve bel homme. Se demande d'ailleurs s'il n'est pas trop bien pour elle? Elle a le sentiment qu'il reste insaisissable.

 

La voilà prête pour une séance d'essai.

 

Il veut un hôtel avec un lit surélevé. Il veut pouvoir l'attacher. Elle n'a rien contre, au contraire.

Elle arrive, frappe à la porte: il lui ouvre. Il est en T-shirt noir, caleçon noir, gants noirs. Elle le trouve très beau. Elle se douche, se prépare, mets de la lingerie. Il lui demande d'attacher ses cheveux, il veut pouvoir lui mettre au cou un collier avec une laisse en métal. Ensuite...

Elle ne se rappelle pas avec exactitude les événements. Juste des séquences.

Séquence 1: il lui a bandé les yeux. Bâillonné la bouche avec une boule énorme,c'est lui qui l'a fabriqué. Il aime voir la bave couler...Elle espère qu'elle pourra le satisfaire. Elle a les lèvres complétement distendue.

auparavant il lui badigeonné le sexe avec un produit qu'il nomme "dragon" et qui la brule, délicatement, ça lui donne envie. La crème du dragon chauffe le clitoris, les lèvres, l'anus, l'entrée du vagin...Elle devient une "chatte en chaleur". C'est la première fois qu'un Maître utilise sur elle ce genre de produit, elle en reste toute exité. Elle salue l'ingéniosité de Maitre H pour avoir su la rendre femelle gémissante

Il la promène à quatre pattes, elle se cambre le plus qu'elle peut. Elle sait qu'un Maître aime voir sa chienne onduler du bassin à ses pieds...

Elle, elle entre en soumission, à ses pieds elle se sent devenir sa chose.

Il lui ordonne de ne plus bouger. Lui fait écarter les jambes, encore, encore. Au pointqu'elle ne peut plus bouger le bas du coprs. Elle sent un pied de métal coulisser entre sa t^te et son bras. Maître H lui ordonne de bouger, elle ne le peut presque pas. Elle sent contre son dos un plat en fer, se sent tout à coup prisonnière. Elle adore cette sensation... Il pose son sexe contre ses lèvres, pousse, va au fond. Elle ne peut rien arrêter, il use de sa bouche comme d'un sexe. Elle adore aussi cette sensation, m^me si parfois elle n'arrive plus à respirer, suffoque...

Elle est venue pour ça. Subir sa loi. Elle est une soumise, aime qu'on la brusque, qu'on l'utilise.

 

Séquence 2: elle est allongé sur le dos. Il a attaché ses bras et ses jambes à la barre du lit surélevé. Elle aime se sentir ainsi liée. Tous ses orifices sont à sa merci. Elle se sait complétement impudique.

Maître H a une réserve de jouets  qui lui semble inépuisable. Elle n'arrive pas à tous les identifier, il joue avec son sexe et eux. Son plaisir est très fort, elle sent son sexe se contracter parfois, le désir monte, monte...Les mots cochons qu'il utilise concours aussi à son plaisir.

Maitre H lui permets de crier, il dit que cela l'excite, elle apprécie.

Il lui introduit son sexe dans la bouche. Elle a du mal à le prendre en bouche, le collier en cuir empêche son cou de se mouvoir normalement. Il continue de jouer, parfois aussi avec ses doigts. Maître H a une façon bien à lui de les utiliser. Sans brutalité, mais sans maniérisme, il caresse fermement son clitoris. Elle sent la jouissance arriver, elle en est étonnée, elle est très lente habituellement . Mais il arrêtera les caresses avant...

Il la pénètre, elle crie, il est puissant , bien membré, elle aime. Son sexe l'affole délicieusement...

 

Séquence 3: ils sont allongé sur le lit. Il ne semble pas vouloir qu'elle pose sa t^te sur son épaule. Cela l'attriste, elle sent les larmes monter. Mais se maîtrise, elle est toujours ainsi quand elle a été très excité, mais qu'elle n'a pas joui. Elle prends l'initiative de le sucer. Une sorte de défi. Il lui avait dit que les femmes en général ne savait pas sucer. Elle veut lui montrer son savoir faire. Non elle n'est pas une experte, mais elle sait qu'elle y arrive pas trop mal. Maître H lui dit alors quelle est au commande. "Non" réponds t-elle, " elle se sent plutôt comme la soumise qui tente de combler son Maître". C'est vrai. Elle n'a qu'un but: qu'il prenne du plaisir. Elle a du mal à tenir le rythme, elle l'enfonce profond et doit reprendre sa respiration. Il lui dira que cela lui coupe la monté du plaisir, . La prochaine fois, s'il veut la revoir, elle en tiendra compte. Il jouira dans sa bouche.

 

Séquence 4: il s'est endormi, pas longtemps, juste trois ou cinq minutes. Il doit être fatigué par son travail. Il lui dit que 'ça devait être bon..."

elle est contente d'entendre qu'il a du prendre du plaisir...Il lui montre certains de ses jouets, elle veut lui faire ressentir ce que procure son martinet. Elle le cingle doucement aux fesses, il lui dit de faire plus fort. Elle s'exécute, il trouve que c'est trop fort. Elle est confuse, elle ne voulait pas le blesser, juste qu'il éprouve lui aussi ces sensations si particulières.

Elle a souvent entendu des Maîtres dire qu'il faut tester son matériel, afin de savoir le manier et de juger de la douleur ressenti par leurs soumises. Lorsqu'il lui montre un slap, sorte de tiges larges de 3 cm en cuirs, une longue, une moyenne et une courte assemblées ensemble, elle veut lui montrer aussi. Elle le prend et frappe le lit.

(Flash: elle revoit cet autre "maitre" qui la frappait tellement fort au clitoris, elle use de la m^me force, une sorte d'exutoire pour expulser ces souvenirs). Puis elle en tapote le lit. Force inverse, effet douceur.

 

Séquence 5 : Elle sent qu'il attends quelque chose. Il ne se presse pas, il range tranquillement ses affaires. Maitre H avait dit pourtant

qu'il voulait partir à quatre heures. Il est cinq heures et demi. Elle lui propose alors de partir la première, seule.

Il lui dit oui. Elle sent encore ces fichues larmes qui montent, les ravalent.

 

 baby No, no, no, no, don't you cry,.

 

Dans la voiture elle l'écoutera, Janis Joplin, Summertimme. Très beau.

Mais elle se connait, c'est juste la frustration, c'est rien. Ca passera.

Et la prochaine fois, elle jouira , peut-être. Sinon pas grave.

Elle a aimé cette séance, se sentir lié, sentir que Maître H est inventif, joueur, qu'il peut se montrer invasif et faire ce que bon lui semble.

Oui elle a aimé.

De plus sur le chemin du retour, il lui téléphonera pour lui dire 'Merci". Elle en sera profondément touchée...

Maitre H me demande s'il m'a fait  mal.

Je lui réponds que non. Mais je le regretterai plus tard. Ma fichue manie de rester soumise, de rassurer en quelque sorte le Maître sur ses actes, de ne pas entamer sa confiance en lui. Parce que je sais que la première séance est toujours très difficile pour un Maître.

Je l'ai bien vu, ils peuvent trembler, débander, ne pas arriver à éjaculer, être déstabilisé. Normal. La place de soumise est tellement plus confortable. Un Maître agit, occupe l'espace, le temps, aménage comme un bâtisseur, il occupe le devant de la scène. C'est lui qui est au commande . Ce premier rôle, dans cette première rencontre avec sa soumise, est compliqué à gérer sans stress.

Oui je le sais bien tout ça. Et ma nature souhaite le bien être du dominant qui me prends en main.

Mais je ne devrais pas cacher à Maître H que oui, il m'a fait mal. Il a introduit deux gods, un dans le vagin et un dans l'anus.

Il les a agité vigoureusement tous les deux.

C'était extrêmement jouissif, jusqu'à ce que Maître H tape le fond de mon vagin. Mon corps a tout de suite réagi, Maître H l' a tout de suite perçu, il a arrêté.

Au téléphone il m'explique qu'il était très excité.

Je lui en parlerai pour qu'il sache que sa perception était juste. Il peut continuer à faire confiance à ses ressentis.

Cela me sécurise, d'ailleurs. De savoir que Maître H est capable de décoder mes signaux non verbaux...

Ouf oui vraiment, ce Maître n'a rien de la brutasse qui n'écoute que lui et son plaisir. 

 

 

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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Jeudi 18 juillet 4 18 /07 /Juil 22:35
(Je laisse ici ce texte, j'ai perdu mes identifiants pour notre blog intime, Mon Maître. Je le replacerai là où est sa place dés que je les retrouverai...Je le décore avec ce tableau, proche de celui de notre chambre, comme il m'a inspiré...)
 
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Bonsoir Mon Maître (je sais , je devrais dire bonjour, pardon mais nos rythmes sont différent!)
J'espère que vous allez mieux, et vous allez prendre le temps d'aller voir l'osthéo pour consolider votre muscle.
Oh oui dites, vous le ferez pour moi, s'il vous plait?
  
Mais je voulais aussi venir pour vous dire mes ressentis sur cette rencontre et notre première nuit...
Je pensais sincèrement que vous seriez presque incapable de me prendre comme vous en avez l'habitude. C'est compter sans votre capacité à jouir de la vie, votre force pour aller de l'avant, et votre amour de la jouissance...
Vous m'avez encore fais vivre des moments inoubliables, savez vous?
  
Lorsque Vous m'avez demandé de vous chevaucher, et que j'ai senti, vos caresses sur mes seins aidant, que j'atteignais un stade encore jamais franchi.
C'est, comment dire... Comme une intensité lumineuse, une sensation d'atteindre un état pleinement animal et sensitif.
Un état ou le corps n'est plus, l'enveloppe corporelle disparait, seule reste une plénitude incroyable.
Vous me voulez femelle, putain et chienne, catin et salope, que je me lâche complétement? Là j'ai senti pour la première fois de ma vie que j'y arrivais, que Grace à vous, votre enseignement et votre fougue j'arrivas à dépasser mes limites...
Merci pour cette découverte, je dois vous avouer que comme Maître vous êtes tout , sauf un Maître de pacotille...
Vous m'avez conduit sur un chemin que j'aime arpenter, vous à mes cotés.
M^me si parfois vous souhaitez punir la salope désobéissante que je sais être.
Vos coups de martinet, vigoureux mais jamais brutaux, ont été là aussi découvertes de sensations nouvelles, fortes, j'ai aimé être ainsi punie, ligotée, sentir votre loi et vous appartenir par ces actes...
  
Oui je sais je reprends tout à l'envers, pardon Mon Maître mais mon esprit vagabonde, s'arrête sur un moment , l'explore, repars à un autre, comme un chemin de douces sucreries que je goute à chaque fois...
  
Notre repas du soir (du soir, je n'en reviens encore pas!) vous écoutez m'expliquer, vous, votre vie, m'ont fais prendre conscience que oui, je tiens une petite place. Que cette petite place a son importance pour vous.
 
Vos reproches quand aux textes "noirs" que j'ai pu écrire m'ont peiné.
 De plus j'avais trop bu par rapport à ce que je peux supporter émotionnellement, j'ai bien vu que ma tristesse vous a arrêté, pardon de cette sensiblerie à fleur de peau, qui m'encombre parfois. Heu oui trois verres et hop pompette la soumise!
 
Mais je comprends parfaitement que , pour vous, les termes et mots que j'ai utilisés sont parfois brutaux, plein de colères et que cela vous atteint...Je vous redis que je ne le souhaitais et ne le souhaite pas.
(Il sera dit que notre histoire n'aura rien d'un long fleuve tranquille.)
 
Votre délicatesse est  un nectar pour moi...
 Et que dire de votre tendresse? J'adore vous sentir me câliner, sentir  vos bras sur ma taille, ou  vos mains sur mon corps. Et je sais que vous aimez aussi mes câlineries.
Je ne pensais pas qu'après ce repas, vous auriez envie de votre chienne.
Votre vigueur, votre sexe si épais qui me remplit totalement et me rends folle m'ont encore une fois surprise.
Surprise parce qu'avec votre muscle en piteux état, je ne croyais pas possible que vous soyez comme un taureau , puissant , déterminé, endurant...(oui j'avoue le tableau de la chambre m'a inspiré, j'avoue!)
Que m'importe que vous ayez arrêté, parce que vidé de vos forces. Vous m'avez épaté de déjà réussir à faire ce que vous avez fait...
Les sensations étaient si intenses que je n'avais pas besoin de plus...
Vous avaler ensuite a été un tel cadeau, comme à chaque fois. Merci.
Et m'endormir dans vos bras, un présent que je vais chérir ce soir, dans mon lit, pour partir dans les bras de Morphé...
J'ai aimé m'assoupir à vos coté.
J'ai dormi profondément, non non je ne vous ai pas entendu ronfler...
Votre vigueur et votre énergie se sont encore manifesté lors de votre réveil. Sur un autre mode. J'en suis très admirative, vraiment.
Femme et soumise amoureuse...Oui je le suis...
J'aime vos ordres, j'aime sentir que vous voulez plier à votre volonté votre femelle parfois rétive, parfois distraite...
Lorsque vous m'avez dit de ne pas croiser les jambes, avez vous vu comme je vous ai obéi instantanément?
Vous vous êtes repris, repris de remord. Mais laissez moi vous dire que vous pouvez jouer à ordonner, avec moi, j'aime.
J'aime sentir votre autorité, j'aime sentir que vous attendez de moi un comportement qui va vous satisfaire..
 
Mon Maître RV...
 
Femelle Christine les yeux dans les étoiles ce soir.
 
(Et pour que cela continue, je me suis promis de vous dire très clairement, pas de façon mesurée, mon besoin de vous lorsque qu'il se fait trop violent. Que je vous alerte, que vous puissiez prendre des dispositions et m'écrire, ou encore mieux me téléphoner. Je ne veux plus vivre de yoyo émotionnels si destructeurs, non je ne veux plus. Et dans ce que vous m'avez dit, j'ai bien retenu que vous prendrez en compte mon complexe d'"abandon"...)
A vos pieds je me précipite pour vous les enlacer, nue et allongée (hummmmm j'ai aimé vous lécher les doigts...)Permettez moi de recommencer...)
Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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