Cet après midi j’ai reçu un choc.
Maitre Sévère s’est montré encore plus brutal et insensible que toutes les autres fois.
Une première fois en me frappant le clitoris à plusieurs reprise,
Une deuxième fois en me visant la pointe des mamelons avec le bout de la cravache, j’ai commencé à pleurer, il a arrêté, mais…
Une troisième fois en m’enlevant les pinces à linges plastiques à la cravache.
Et alors que la douleur irradiait dans ma poitrine, que j’avais l’impression que mes mamelons avaient été arrachés, lui le sexe dans ma bouche, à califourchon sur moi, a visé à nouveau mon clitoris.
J’ai fermé les jambes.
Il m’a ordonnée de les rouvrir.
Pétrifié par la douleur, je n’ai d’abord pas réagi, mes sanglots en étaient au stade ou s’écoulent un long moment avant qu’on puisse reprendre sa respiration.
Et quand il a recommencé à m’ordonner d’ouvrir les jambes, une incroyable colère m’a saisi.
J’ai crié que cette fois ci, j’en avais MARRE QUE JE VOULAIS ARRETER.
Depuis toujours je sais me délier (sauf si bondage) et j’ai retiré ma main du poignet en cuir qui la reliait à mon cou.
Le monsieur qui avait été trop loin m’a dit un truc comme « ça va ça va je te détache », la rage qui m’habitait alors me fais oublier ses paroles .
Je sanglotais à gros bouillon alors qu’il m’enlevait le deuxième poignet et la laisse du cou.
Je me suis rhabillé, lui ai dit que de toute façon je n’étais pas une soumise pour lui.
Que lui aimait donner la douleur seule, que moi j’aimais la douleur enrobée de plaisir.
Il m’a répondu que je payais pour mes provocations.
Quand je lui ais demandé « lesquelles », il m’a répondu que je me « foutais de sa gueule dans mes messages »
Et moi « mais ce n’étais pas méchant », Vrai. je le taquinais.
(Pov connard ça c’est moi qui le pense maintenant).
Et je suis partie.
En pleurant, de rage j’ai enlevé la queue de cheval qui me liait les cheveux, cet homme n ‘a aucune délicatesse, quand ma bave suite à ses gorges profondes m’inondai les cheveux, il ne faisait aucun mouvement pour me les protéger…
(Ceux que font Maître sensuel et Monsieur Jef, soit dit en passant.)
Alors maintenant…
Je suis complètement déboussolée, perdue.
Je suis seule à porter tout ça.
Personne à qui me confier.
Mai pas grave, j’ai l’habitude, il y a moi, je suis là, là, ca va aller…
Oui perdue, confuse, dans la tourmente.
Est-ce que la soumission est pour moi ?
Et pourquoi je me jette toute seule comme ça dans la gueule du loup ?
Oui tu n’a personne pour te protéger, aucun mec qui irait lui casser la gueule, là, à cet abruti.
Et je n’ai plus envie de continuer.
Là maintenant tout de suite, je ne veux plus avec personne.
Qui me dit que Maître sensuel n’ira pas trop loin, lui aussi, sur un autre registre ?
Et Monsieur Jef, avec ses envies de zoophilie, me faire prendre par un chien, je ferai quoi, moi, s’il passe à l’acte ?
Quesque qui me pousse à me laisser traiter comme une moins que rien par ces mecs, à devenir leurs paillassons, à les laisser exprimer leurs plus bas instincts et devenir des bêtes ?
Ils deviennent comme jamais on ne pourrait soupçonner dans la vie de tous les jours, des tortionnaires face à une femme qui n’a pas la m^me force qu’eux, qui se laisse avilir et trainer dans la boue, sans penser un instant qu’elle peut avoir du chagrin, de la peine, ou juste mal ?
Jai la nausée..
OUI je ne suis rien pour tous ces mecs, juste un défouloir, rien ne me protège de leurs débordements.
Chienne perdue sans collier..
Comme je comprends maintenant les femmes qui préfèrent tomber amoureuse et suivre LEUR Ma^tres au bout de leurs délires…Car sinon on finit par être dégouté de leurs actes, de leurs pulsions, de la merde qu’ils ont dans la t^te.
MERDE.
Alors repartir sur ce site, où elle sait que des Maîtres viennent et
cherchent des soumises, C’est déjà là qu’elle avait rencontré Le Maître…
