Lundi 5 août
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/Août
14:21
Voilà c'est dans des moments comme celui là que je vous déteste.
Votre silence est vraiment une marque d'irrespect.
Ca me fais mal, vous le savez pertinemment, et vous ne prenez m^me pas 5 mn pour m'écrire...
Vraiment vous êtes cruel, je suis mal à cause de vous.
A croire que ça vous amuse, et que c'est ce que vous cherchez...
Peut être ne vous souvenez vous plus de moi.
Je passe à tout hasard...
vous raviver les souvenirs.
Vous êtes toujours intéressé par une histoire avec une soumise'?
Parce que ce qui me turlupine depuis un moment, c'est que j'ai l'impression d'aimer dans le vide.
Aimer... implique une vie commune, des moments vécus à 2, des projets, des r^ves partagés, un but à atteindre ensemble.
Or pour nous.
Juste des moments de sexe, de tendresse, de partages.
si court, si peu nombreux.
cette pensée avait été vaincue ces derniers jours , grâce à vos appels... Mais je sais que votre disponibilité enfuie, je ne vous aurai plus au téléphone...
Je vous avoue que j'ai failli tout effacer ce que je viens de vous écrire.
Mais si je me censure, est ce que je suis toujours vraie avec vous ?
Je viens parce que vous valez mieux qu'un lache silence.
Parce que je me dois de vous dire que je ne peux plus être votre.
Vendredi apres notre rencontre j'ai attendu votre message habituel qui me dis combien vous appréciez ce que l'on vient de vivre.
Rien.
Je n'étais pas dans mon assiette, j'ai le moral qui a baissé grave. Ajoutez à ça le samedi une mauvaise nouvelle perso, et je me suis retrouvé avec une déprime comme ça faisait
longtemps que je n'en avais pas connu.
Et là...
J'ai réalisé que ce serait toujours comme ça avec vous. Que je resterai seule, sans personne qui puisse me réconforter lorsque le moral n'est pas au RDV.
Je ne veux plus donner autant à quelqu'un qui me donne si peu, comprenez vous?
Et pour que vous soyez vraiment persuadé que je ne vous fais pas encore un éniéme caprice, sachez que j'ai , pour vraiment me libérer de vous, bravé tous vos commandements, du plus
bénin au plus grave.
Vous êtes quelqu'un d'adorable, vraiment, n'en doutez pas.
Je pense que vous ne vous rendez pas compte ce que peux vivre une célibataire avec vous.
Trouvez une soumise maitresse mariée, il y en a plein maintenant , depuis fifty chade of grey.
Elle aura son mari pour tous les jours, et vous pour le BDSM fun.
Je vous souhaite plein de bonheur, vraiment.
Moi je tourne la page, je ne veux plus sombrer comme toute cette semaine, stop, je me protége, basta.
Par soumiserevedeliens
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Publié dans : Réflexion d'une soumise
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Dimanche 14 avril
7
14
/04
/Avr
20:20
7/4/2013 20h35
Répondre
Bonjour voyageur2006, effectivement vous avez complétement raison, j'y ai pensé cet aprés midi.
Je les mettrais en premier, et je les nomerais les R^veurs. Ceux qui se croit Maitre parce qu'ils ont envie d'assoir leurs autorités, autorité qu'ils n'arrivent pas à diffuser dans leurs vies de
tous les jours. (Mais l'autorité est innée, sans; on n'est pas un Maître, à mon avis) Ou Ils y a ceux qui pensent qu'une soumise est un "coup" facile, et donc donnent rdv en ayant en t^te juste le
rapport sexuel...J'en ai rencontré un comme ça, décevant, boudu, mais décevant!
Pour les Soumises, je pense aussi que l'inverse est vrai.
Merci de votre commentaire trés juste.
tentative de typologie des "sous espéces" de Maîtres.
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6/4/2013 9h33
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6 catégories repérées pour l'instant;
Le fantasmeur,
derrière son écran il ne prendra jamais part à un moment de vie réelle. Il se satisfait de la correspondance établi, des jeux imposés à distances. L'objectif est une satisfaction
solitaire, partagée ou pas par la "soumise" virtuelle.
le fétichiste,
qui centre toujours son plaisir sur un aspect bien précis (que ce soit la latex, la lingerie, les pieds ou la fessée par exemple).
A partir du moment ou cette composante est présente dans le jeux, il prendra son plaisir.
le jouisseur,
qui prends des aspects du BDSM juste pour "pimenter" ses ébats, la finalité étant le plaisir, le sien et celui de sa partenaire.
L’esthète,
qui laisse une place importante à tous les composantes des jeux BDSM. La finalité étant la douleur enrobé par le plaisir.
Le puriste
(qui peut être goréen) qui considère que sa partenaire, en bonne kajira ne devra pas refuser ses actes. Il reste cependant attentif aux limites de sa partenaires, veille à ne pas les
dépasser trop brutalement, va en douceur et en progression.
La douleur est un objectif à part entière, dissocié des moments de plaisir, les uns se succédant aux autres.
et enfin
les extrémistes,
qui ont leurs propres limites et tabou, ou pas, et pour qui la partenaire est un élément qui doit venir aussi loin qu'eux, m^me si elle ne le souhaite pas.
Le dépassement des limites est ici en permanence affiché comme l'objectif principal.
Voilà une tentative pour me repérer parmi les Maîtres, car plus j'avance,plus je me rends compte que vous n'êtes pas tous au m^me niveau d'attentes, que vous n'avez pas tous les m^mes
exigences, ni désirs..
Ce texte reste cependant modeste, et ne saurait à lui tout seul résumer la richesse des mondes des dominants, tant il est vrai que leurs univers est si spéciaux à chacun.
Il m'a quand m^me semblé pouvoir en dégager ces grands traits communs.
Vous en pensez quoi, Vous?
Je rajoute un commentaire et ma réponse à un Maître sur un autre site ou j'héberge aussi mon blog:
Bonjour revedeliens
Je rejoint tout à fait votre description des Maître à ce que j'en ai entendu parler par des soumises (en effet je n'ai jamais été sous le joug d'un Maître ou d'une Maîtresse et n'ai donc
pas pu le constater moi même), mais vous avez oublié celui qui donne RDV et...ne fait rien!!! Je peux vous affirmer que le problème est exactement le même de la part des soumises comme
celle qui est tout feu tout flamme et qui arrivée au RDV se sauve en voyant quelques bracelets en cuir, un collier, une laisse et un martinet... ou celle qui veut griller les étapes et
faire en un ou deux mois ce qui doit s’étaler sur six mois ou 1 an car je pense que pour que ce soit une réussite il faut apprendre à se connaitre. Ce monde est très spécial et est
remplit de gens qui prennent leurs rèves pour des réalités.
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revedeliens 48F
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Par soumiserevedeliens
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Publié dans : Réflexion d'une soumise
0
Dimanche 14 avril
7
14
/04
/Avr
20:13
 forcée oui pas violée
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30/3/2013 22h32
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Je porte ces réflexions depuis longtemps, et j'avais envie de les déposer ici.
Sur ce que je lis parfois et qui est décris comme "le fantasme du viol".
Le fantasme du Viol...
je crois que le terme est trés mal choisi.
Je suis sure que toute femme réellement violée dans sa vie , ne pourrait pas r^ver d'un tel moment.
C'est un temps où vous n'existez plus en tant que femme.
Vous n'êtes plus rien, vous devenez un bout de viande, qu'on s'amuse à humilier d'une façon qui nie votre humanité.
Et si vous mouillez dans ces moments là, sachez que c'est un réflexe protecteur de votre organisme.
Pour atténuer la douleur.
Si vous éprouvez du plaisir, sachez que c'est purement mécanique. Que votre corps finit par abdiquer devant les sollicitations répétés.
Mais pour votre esprit, votre âme, qui lui ne veut pas, pas de jouissance.
Et si par la suite vous n'arrivez plus à avoir d'orgasme, sachez que c'est normal.
Et provisoire. Qui peut durer quelques années, mais ça passera.
Quand vous trouverez celui qui, à force de patience, de câlins, de douceur mais aussi de détermination à vous faire jouir, apprendra à votre corps la beauté de l’orgasme.
Celui qui n'aura rien à voir avec la brute DÉGÉNÉRÉ qui vous a dérobé votre capacité au plaisir.
Cet primate, ce cerveau-bite, qui a cédé à ses instincts destructeur, qui a pris, sans se poser de question.
Et je n'ose réaliser ce que ça devient avec l’effet de groupe...
Alors que le fantasme d'être forcée...
Dans les r^ves, oui bien sur on peut imaginer être prise par un inconnu. C'est du r^ve, on ne risque rien, on contrôle tout.
C'est de l'ordre du fantasme.
Et quand on veut le réaliser...
On choisit quelqu'un avec qui il y a de l'accroche, du jeu possible. Et avant toute chose, de la confiance et surtout du respect.
Oui être forcée, à avoir une jouissance qu'on nous arrache, être prise par ses orifices, en fonction bien sûr de ses capacités et de ses limites...
Pouvoir dire de spetits "non non non" mais veulent dire "oui" parce qu'on a la voix gorgé de désir.
Se sentir amenée au plaisir, celui qui nous fait peur, mais qui est si bon une fois là.
S'entendre être traité de tous les noms, mais savoir que ça ne reste qu'un jeu.
Connaître les grandes lignes du scénario.
Se donner à un Dominant qui vous force à subir , plus loin, encore plus loin, le plaisir qu'il a décidé de vous octroyer...
Oui juste du jeu, délicieux, orgasmique.
Mais non, pas violée, ho non.
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Par soumiserevedeliens
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Publié dans : Réflexion d'une soumise
0
Dimanche 14 avril
7
14
/04
/Avr
20:03
Nympho,
les souMises ?
12/3/2013 22h31
Pour Faire écho à la question d’On_joue_ensemble sur son blog délicieux, « il est légitime de se poser la question : pourquoi si peu de femmes sont-elles intéressées par le sexe ? Car, jusqu'à
plus ample informé, elles représentent à peu près la moitié de la population humaine ! » et à une phrase de Syrug quand au coté insatiable de sa Juliette
( sur son blog également délicieux, « Quel empressement touchant à me plaire et à remplir cette béance jamais rassasiée, mais qui demande pourtant toujours à être comblée! » ), soudain je
m’interroge
.
Et si les soumises étaient des nympho ? Nympho, c'est-à-dire plus souvent dans le désir sexuelle que la majorité des femmes, et non pas au sens pathologiques du terme (Le terme de nymphomanie
viendrait de Nymphe, une déesse de l'antiquité Gréco-romaine, représentée le plus souvent par une jeune femme nue, et du latin mania qui signifie folie. Il s'agit plus précisément d'une femme au
désir sexuel effréné et jamais assouvi, une véritable pathologie cependant très rare. Le sexe est pour elle une quête jamais satisfaite, pouvant aller de 5 à 10 rapports par jour ! Ce
comportement, souvent moqué, traduirait une grande souffrance et impliquerait une notion de dépendance. Il s'agirait d'une conduite dite addictive au même titre que la toxicomanie, l'alcoolisme,
les troubles du comportement alimentaire. La nymphomane en retire pourtant peu ou jamais de plaisir... on imagine alors la souffrance infligée. Source Bloc.com :
Nympho au sens de la recherche du plaisir, de l’envie de l’assouvir, du désir que l’on veut satisfaire…
Sans que cela devienne pathologique, obsessionnel, et n’empiète pas sur la vie sociale.
Oui je m’interroge.
Cela expliquerait-il l’asservissement sexuel volontaire au désir du Maître ?
L’envie que leurs corps deviennent l’instrument du dominant, qu’il use et abuse des tous ses orifices ?
Lorsque je lis des témoignages de souMises, je suis souvent étonnée, d’une part que leurs attentes fassent écho aux miennes, et d’autres part que je retrouve souvent les m^me éléments
D’une soumise à l’autre.
Comme si nous étions sœurs d'esclavages...
Oui je m’interroge.
(photo extraite du site: http://busab.canalblog.com/archives/2009/04/09/13325715.html )
Par soumiserevedeliens
-
Publié dans : Réflexion d'une soumise
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Mercredi 10 avril
3
10
/04
/Avr
06:48
Dress Code pour soumise
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1/3/2013 18h46
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"Soumise tu sera, y compris dans ta tenue.
Tes vêtements de tous les jours devant moi seront:
robe ou jupe
Jamais de pantalon, ni de string ou slip
Des bas tu portera, ni collant ni legging
sans soutien gorge tu déambulera...
Tu restera ainsi en ma présence,
afin que le Maître puisse tout à son aise
user de tes orifices
à tout moments
et selon son bon plaisir."
J'avoue que j'adore ce dress code
et vous, en avez vous un?
Racontez moi!
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Par soumiserevedeliens
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Publié dans : Réflexion d'une soumise
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