29/5/2011 22h22
Une autre couverture de mon auteur fétiche, Bourgeon,
"LE DERNIER CHANT DES MALATERRE"
29/5/2011 22h22
Une autre couverture de mon auteur fétiche, Bourgeon,
"LE DERNIER CHANT DES MALATERRE"
Le chevalet
29/5/2011 20h30
Pour l’avoir vu dans des vidéos, c’était l’instrument de mes fantasmes préférés.
Cela me semblait proposer une posture adéquate, lorsque qu’on rêve d’être à la disposition de son Maitre, Les fesses ouvertes et bien en évidence, cambrée, la bouche
disponible pour une fantaisie de mon Dom, entravée, sans possibilité de se libérer…
La réalité ne m’a pas déçu.
Ce que je ne soupçonnais pas, c’est que je ne pourrais pas voir ce qui se tramait dans mon dos.
Impossible de tourner la t^te, reste l’ouïe, le toucher pour deviner ce qui se passe…
Excitant. Troublant.
Ce que ne je pouvais pas ressentir, c’est cette douleur sourde qui s’installe dans les bras, tirés comme ils le sont, seul appui du corps en hauteur…
Ce que je ne devinais pas, c’est que ces sensations, mon ouïe exacerbée, mon corps en attente des actes de mon Maître, tout cela allait m’apporter une jouissance si forte et si rapide que j’en
suis restée pantelante.
J’espère revivre tout ceci!
Une image que j'aime bien...
OPETH - " Master's apprentices. 20/5/2011 22h44
J'écoute en ce moment Opeth, un groupe de métal suédois, en boucle .
Ca fait sourire ceux qui me connaissent et qui savent que je n'aime pas les sons de guitares violents et les chanteurs aux voies caverneuses .
" Mais Opeth (dixit WIKIPéDIA) « emprunte aux styles les plus brutaux à travers des chants gutturaux et des séquences instrumentales très agressives tandis que de l'autre, il se distingue par des séquences progressives mélodiques, très souvent douces et envoûtantes. Cette apparente dichotomie est présente dans tous les albums du groupe bien qu'à des degrés différents".
Moi je retrouve cette dichotomie dans le BDSM, mélange de choses que je n'aime pas forcément, (mais qui en font le sel) enrobées d'autres choses que j'adore...
Et je ne résiste pas aux plaisir de vous livrer les paroles de la chanson "Master's apprenties", (ou plutôt des extraits choisis). Ça m'évoque le chemin que j’arpente en ce moment, vers mon futur
Maître.
"Il y a une voix qui m'appelle
Il y a une lumière qui descend sur moi
Il y a un doute qui s'éclaircit
Il y a un jour qui est naissant
Il y a une blessure qui se guérit
Il y a une saison qui m'attend
Il y a une route qui tourne
Il y a un feu qui brûle toujours.
Le besoin est plus fort
Cette fois-ci le besoin est plus profond encore
Il y a une paix que je cherche
Il y a une liberté à laquelle je dépend
Il y a un rêve que je suis entrain de vivre
Il y a une vie à laquelle je rêve
Il y a un bercail que j'abandonne
Je retiens mon souffle et attend
Seuls les moments demeurent
Romps la confiance de mon corps
Laisse moi en demander plus
Prend ce que j'ai et délivre moi
Transe apaisante
Une fois dessous il n'y a pas de retour en arrière
Chaque rêves malheureux
Que j'ai laissé derrière
Chaque heures éveillées
Je repose dans l'attente
Passant des routes inconnues
Cherchant un nouveau chez soi "
Triste. |
16/5/2011 23h07 |
Je laisse mon imagination vagabonder, ce soir… Et je r^ve. De celui qui saura. Me prendre. Comme je suis . Avec mes envies, mon corps Qui n’a pas 20 ans, mais pas 60 non plus…Qui acceptera ma cicatrice sur le ventre, cette demi-lune que je hait et qu’un chirurgien tombé dans le coté sombre du BDSM m’a fait. D’ailleurs j’aurai du me méfier, j’ai appris (mais trop tard) que ses étudiants l’appelait le boucher. C’était pourtant au départ une opération si banale. Et maintenant elle est là. Avec le reste de mon corps. Ce qui me console, c’est que mes fesses semblent plaire aux hommes. Mes lèvres aussi. (Heu oui, celle du haut. Du bas aussi !) Je suis une victime des tabloïds. De ces images de femmes fatales. De ces corps lisses, si parfait, avec des seins si haut et si ferme, ces cuisses si fines et si longues. Contrite, désolée, désespérée de ne pas avoir ce type de corps. Afin de l’offrir à celui qui deviendra mon maitre. Qu’il puisse se repaitre rien qu’avec les yeux. Car enfin. Un homme. Les hommes. On les dit si visuels, en attente d’être comblé par le regard. Ca me rend triste, certains soirs. Frustrée, mais pas comme j’aime. Oui si triste. |
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