Lundi 15 avril 1 15 /04 /Avr 05:18
Ce week end, R^vedeliens a le blue.
  
Un  vague à l’âme qu’elle n’a pas envie de détailler ici
Disons juste qu’elle sait qu’il lui arrive ce qu’elle ne souhaite surtout pas…
 
Mais mouvement, voiture, la ville rose, stella entre en scène.
Ma^tre S. lui a ordonné de venir nue sous son manteau.
Elle passera la majeure partie du trajet à guetter des petits chemins de campagne
tranquille et sans maison voisine pour ôter ses habits et se changer.
Lorsqu’enfin elle pourra le faire, ce sera à toute vitesse et craintive de voir arriver une voiture.
Enfin ouf, elle repart.
Elle a gardé la jupe, elle se dit qu’elle l’enlèvera sur le parking de l’hôtel.
Pas désagréable de conduire la poitrine nue sous l’imper…
Le péage. sA a oublié sa carte bleue. Panique, se garer, aller aux bureaux expliquer (oui oui
Elle sait bien, pas dans son assiette, désolée, je peux passer, oh s’il vous plait?)
Et sA se félicite d’avoir gardé sa jupe, Maître S. lui ayant demandé de ne pas boutonner le manteau, elle imagine très bien la scène…)
Justement Maître s. est venu à sa rencontre. sA n’avait pas prévue ça du tout, elle pile dés qu’elle le voit, houille houille mes fesses se dit-elle tout bas…
Elle roule tout doucement vers lui. Maître lui donne ses instructions, ouf (sourit-elle intérieurement) il n’a rien vu apparemment, ouf ouf !
 
Elle se gare, et enlève la jupe avec moult contorsions. Maître S.l’attends juste au bas des escaliers. Arrivé à l’avant dernier palier, il lui fait enlever son manteau, la photographie ( elle a honte), il lui ordonne de se mettre les mains sur les marches, fesses à l’air et les jambes écartées..
Stella est contente d’avoir obéi, elle a passé un cap qu’elle redoutait.
 
Dans la chambre, elle a droit à la cravache sur le clitoris, autant de coup qu’elle a de minutes de retard. Maître S y va fort, elle ne peut empêcher les larmes de perler, ce qu’elle regrette aussitôt. Elle craint de déstabiliser Maître, elle sait que ce n’est pas la douleur seule qui l’a fait pleurer, et que cela n’a rien à voir avec lui…
 
Fesses à l’air, elle doit continuer d’expier, les coups claquent (elle reconnaît le paddle, ouille vraiment ça tape fort, Maître) pendant qu’elle compte et remercie Maître S.
Cette fois ci elle n’a pas de liens, elle doit se tenir seule les jambes écartées, la chatte exposée sous le regard de Maître. Elle le voit saisir un gant, elle sait ce qui va suivre, craint cet instant où elle sentira la main forcer  l’entrée de son doux nid secret… Qui le perds, sous la poussé brutale du poignet de Maître, qui pourtant a tourné et retourné son poignet avant de la pénétrer…
Il pose sa T^te sur sa cuisse, l’écartant encore plus, et lui parle…
Elle a du mal à l’écouter, tellement la crainte qu’il oublie sa main et que cela provoque un mouvement qui lui fasse encore plus mal.
Puis elle l’écoute, soudain aux aguets :
Il dit : « tu as le choix, où je l’enlève tout doucement, ou je tire brusquement »
Elle n’a pas le temps de finir sa question, « c’est quoi qui fais moins mal ? »
Il tire brusquement, elle crie et serre si fort les jambes…
Maître sévère recommence le fist, mais ne déplie toujours pas ses doigts. Il lui explique qu’elle n’est pas profonde, que certaines femmes ont un vagin en forme de ballon de cornemuse, et permet ainsi une exploration des doigts aisés. Elle non, elle est peu profonde.
ballon-cornemuse.jpg
Maître retire sa main brusquement à nouveau, elle crie encore, le m^me mouvements reflexe des jambes qui se referment…
Ma^tre lui explique la finalité : le plaisir de la soumise, car la main, une fois à l’intérieur, peut explorer et chercher les zones innervées pour l’orgasme.
Pendant qu’il parle, ses doigts pénètrent, tâtonnent, et trouvent sa zone si sensible.
sA se sent partir, halète, veut crier mais Maître le lui interdit. Alors elle attrape le bout de l’oreiller et le mords très fors, les doigts continent leurs lentes caresse, se font plus insistant, jusqu'à devenir comme des pierres, elle a mal, agite les poignets comme pour dire non et elle lâchera le safeword (moutarde, elle a choisi moutarde, allez savoir pourquoi !).
Maître lui présente son morceau noble, après l’avoir positionné à quatre pattes, ses orifices sont bouchées par un  jouet qu’il n’a pas encore essayé sur elle ; un double gode qui a les extrémités recourbés de façon à pousser les parois l’une loin de l’autre.
Elle le suce, comme il lui a appris, le bout du prépuce complètement enlevé, ses lèvres se font de velours, elle enserre le gland et creuse les joues, puis lèche le prépuce doucement.
Elle fera des allées venues dans sa bouche en cambrant le dos et en levant les fesses, c’est un ordre de Maître S. Qui vient dans sa bouche très vite, il lui dira après qu’il était très excité.
 
Après une pause détente, sA repartira. Habillée cette fois. Et se dira qu’encore une fois, avec Maître S., l’exploration de la douleur était au centre de la séance, et qu’elle a encore franchi des paliers qu’elle ne soupçonnait pas…
 
Par soumiserevedeliens - Publié dans : Récits de séance
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