Le blog de soumiserevedeliens
Vous ne pouvez pas savoir comme vos messages, cet après midi m’ont fait du bien !
Je me surprends à chantonner, je ris, j’ai la démarche sautillante…
Parce que vous avez pris le temps de me répondre, et cela m^me un samedi.
Je sais combien c’est difficile pour vous.
Et parce que vous avez écris « je pense à vous sans arrêt, c’est horrible »
Et je souris, parce que vous aussi vous êtes toujours dans mes pensées, c’est terrible.
Je ne m’attendais pas à ça lorsque je vous avais répondu pour la première fois.
Sauf que je savais qu’il fallait que je fasse attention, sur votre profil vous aviez marqué que vous souhaitiez une relation long terme, que vous vouliez quelqu’un que vous feriez votre, et d’autres marqueurs encore qui montraient bien votre recherche.
De quelqu’un à …aimer.
Et moi grande bêtasse, j’ai cru être de taille à relever le défi, partir jouer avec vous qui aviez l’air si profond et attachant.
Mais votre appel a réveillé en moi, au fil de vos messages, ce que je croyais verrouillé et jeté aux oubliettes.
Et que dire de notre première rencontre ?
D’abord vous avez voulu me voir au restaurant. Et c’est tout. J’ai beaucoup apprécié que vous ne vouliez pas une séance là maintenant tout de suite.
M^me si je fais comme ça d’habitude avec les Maîtres de l’instant. C’était, oui, so romantic…
B^tasse, B^tasse…
Je me suis garée, et en sortant de la voiture je vous ai vu de l’autre coté de la route. En m’apercevant vous avez eu un sourire si chaleureux, si lumineux. J’ai littéralement « fondue » pour reprendre votre expression.
Et lorsque, ayant traversé la route, je me suis retrouvé devant vous, vous m’avez tout de suite saisie dans vos bras et embrassée à pleine bouche.
J’ai eu un choc. Je ne m’attendais pas à ce que mon corps réagisse comme ça.
Oui je ne m’attendais pas à vous.
Et que dire de nos séances ? Vous me faîte tout ce que j’attendais d’un Maître sans jamais avoir osée le dire.
Vous prenez mes poignets, me les enchaînez avec vos mains, je deviens votre prisonnière et j’adore ça…
Vous me saisissez par les cheveux, vous m’en faites une queue de cheval, et vous jouez avec ma t^te comme bon vous semble…
Lorsque vous l’avez tirée en arrière pour me forcer à me regarder dans ce miroir, vous dans mon anus, boudu ! Indescriptible ce que vous m’avez permis de ressentir…
De plus vous avez une vitalité incroyable, bien supérieure à la mienne, n’en doutez pas…
Lorsque l’après midi finissant, m’agenouillant devant vous, vous avez investi ma bouche, et vous que m’avez cravaché les fesses, tapes régulières, votre voix ordonnant « PLUS VITE »
« MIEUX QUE CA » et autres commentaires qui me forçaient à vous satisfaire du mieux que je pouvais ; vous m’avez transformée en une femelle-bouche, concentré sur votre seul plaisir, m’efforçant de tout faire pour vous combler. J’entendais votre voix, première stimulation, je sentais la cravache qui ne cessait pas, deuxième stimulation. Mes fesses devenaient certainement rouge écrevisse bien cuite, le temps ne semblait plus s’arr^ter. J’ai senti que je n’y arrivais plus, j’ai eu à un moment comme un « petit trou noir ». Vous l’avez perçu tout de suite, vous m’avez demandé si je voulais dire « rouge » pour arr^ter ? Je vous ai répondu « oui s’il vous plait » je vous ai dit que je n’arrivais plus à respirer, mais je ne sais toujours pas ce qui m’est arrivé à ce moment là avec vous.
C’était la première fois que je vivais ça avec un dominant, d’habitude je garde toujours un certain contrôle de moi-même.
Là non je n’ai pas pu.
Et je pense que vous croyez que vos coups de cravache, ou la douleur que vous pensez trop forte, m’ont fait l^cher prise, alors que non pas du tout…
Heu si dans un sens, peut être que je suis parvenue à un seuil où la douleur n’était plus de la douleur, se transformait en autre chose, mélangée à ma concentration pour vous fellationner.
J’en suis encore éberluée.
Mais je m’en suis voulue de stopper ce moment qui était si intense, j’espère que vous y pris du plaisir, mon Maître Sensuel..
Vous avez éjaculée sur ma langue, en vous masturbant pour m’aider, avez-vous dit.
(J’aurai tant aimé avaler à nouveau votre sperme et m’en nourrir, vous donner avec ma bouche ce plaisir…Tant pis, peut ^tre que j’y arriverai à nouveau).
Et puis il y a votre perspicacité, votre clairvoyance dans ce que j’éprouve et ce que je ressens.
M^me dans les toutes petites choses.
Je ne peux rien vous cacher, vous lisez en moi comme un livre ouvert.
C’est agaçant. Ca me rends tellement vulnérable…
C’est effrayant. Ca vous rends tellement puissant…
Juste à ma respiration, moi dans vos bras, vous avez senti que je pensais à quelque chose qui me faisait stresser.
Et à notre première séance, alors que je vous enlaçais en vous serrant fort dans mes bras, vous avez dit « ha ha c’est quoi ça ? » Je me suis immédiatement figée, j’ai bien senti, gr^ce à votre question, que je n’étais plus dans un jeu, mais dans un geste qui me trahissait.
Ne voulant pas l’admettre, j’ai pris une voix froide pour vous répondre ;
"Ca veut dire que je suis bien avec vous »…
B^tasse, B^tasse…