Le blog de soumiserevedeliens
Mâitre RV a consacré sa journée pour dresser sa femelle -christine.
Il lui avait donné des instruction précise: elle devait trouver une chambre, s'habiller en pute et l'attendre.
Salope en devenir s'est exécuté, elle est m^me en avance, elle a le temps de se préparer.
soutien gorge balconnet et porte jarretelle rouge profond, presque bordeaux, et noir , bas noir et chaussure à talons, robe léopard , oui elle n'est pas mécontente de sa tenue. Elle pense
que cela plaira à Maître, l'imagine entrant dans la chambe, elle debout au fond, la t^te baisée, soon corps prenant appui par la hanche sur le mur, ses longues jambes tendues mise en valeur
négligement par une cambrure du pied...
Mais cela ne se passe pas comme elle l'a prévu.
D'abord la porte ne s'ouvre pas, elle est verrouillé automatiquement, elle doit ouvrir à Maître. Ensuite celui ci est préocuppé, il a égaré son téléphone professionnel.
Il avait glissé de sa poche de veste dans son coffre, ouf il le retrouve.
Pendant qu'il est redescendu le chercher, femelle-christine essaye le "cadeau" de Maître: une cravache, noire, le bout en lanière de cuir. La tige flexible fent l'air en sifflant,
salope-en-devenir est impressionné. Maître revient.
Tout de suite il prends les chose, ou plutôt sa chose en main.
S'ensuit un tourbillon de sensation, vives et pénétrante que femelle -christine ne peut détailler minutieusement.
Ou alors c'est un roman qu'elle doit écrire...
Juste dire que Maître la penche sur le lit, remonte sa robe de pute et lui administre sa punition.
Elle n'a pas été sage, ou plutôt a eu un comportement irrespectueux, a remis en cause son autorité et ne lui a pas fait confiance, elle doit expier.
Les coups de la cravache sont juste comme il faut, elle oscille entre plaisir et douleur.
Mais leurs régularités, et surtout leurs incessants et nombreuses claques la mène vers le chemin de la douleur, enrobé de plaisir, elle aime... Maître se fâche, elle ne compte pas, ne remercie
pas?
Salope-en -devenir s’exécute, elle compte d'une vois hachée, cela apporte une autre dimension à sa punition, l'humiliation et le fait qu'en comptant, elle donne son accord à ce traitement...
S'ensuit le martinet, lanières qui forme un tube large et long, la sensation est différente. Elle sent sa peau recevoir des chocs plus larges,et devenir rouge, elle a le cul tout chaud, hum c'est
bon...
Il la place entre ses jambes, le cul à l'air, lui fait embrasser ses pieds( qu'il a fort beaux, elle aime) et la cravache continue son œuvre...
Puis se fait plus dure, Ma^tre vient de voir qu'elle ne porte pas la chevilliére (boudu qu'elle a pesté dans la voiture, à mi chemin, quand elle s'est aperçue qu'elle l'avait oubliée). Maître
n'est pas content , elle le sent bien dans la force des coups quelle reçoit...
Oui femelle Christine est bien punie, elle a maintenant en mémoire le traitement qu'elle risque si elle recommence à déplaire à son Maître.
Juste dire que Maître lui demande de s’allonger sur le lit. Elle le regarde couper des bouts de cordes, il lie ses mains puis ses pieds au montants en forme de petite poire du lit.
Elle est soufflée, d'habitude elle voit tout de suite les avantages qu'apporte un mobilier.
Là elle n'avait rien vu, c'est Maître qui s'est aperçu des avantages de ces excroissances.
Ainsi immobilisée, elle doit laisser les doigts de Maître sensuel s'introduire dans son vagin, il se sert de ses orifices comme il l'entends,elle devient sa chose, ne peut que se tordre un peu et
gémir.
Maitre tente le fist, elle a trés peur tout d'un coup, se sait tellement étroite.
Elle lui dit, sa réponse" c'est plus excitant" Woui oui oui...
Mais après quelques tentative, il n'ira pas plus loin elle se sent rassuré il tient compte de ses craintes, merci Maitre.
Juste dire qu'elle se retrouve devant le miroir du couloir, bras attaché dans le dos, agenouillé fesse à l'air, pilonné dans son anus par Maître.
Elle oscille entre la douleur de sa joue qui frotte sur la moquette, de son genou coincé contre le mur et qui la lance, et le plaisir ressenti par le gros sexe vigoureux de Maître dans son petit
trou.
Elle gémît, il lui dit durement de se taire. Elle serre les lèvres, laisse échapper des cris parfois, c'est quasi impossible de se retenir. Pourtant elle essaye..
Elle ne tient plus, c'est la douleur qui l'emporte, elle se délie et pose ses mains à terre.
(Elle s'en veut maintenant de son geste, en bonne soumise elle aurait du dire à Maître ce qui lui arrivait, et il aurait certainement remédié à la situation... Oui elle s'en veut).
Maitre, lui, continue son pilonnage, il lui tire les cheveux tel une queue de cheval et lui ordonne" regarde toi dans la glace"..
Elle n'ose pas , le regarde lui, voit son visage de Maître, qui redit: "TU NE ME REGARDE PAS DANS LES YEUX, REGARDE TOI" elle le fait, trouve insoutenable de se voir ainsi les traits tordus par
la plaisir, ferme les yeux. Maître ne la laisse pas faire, l'ordre claque encore, elle se regarde à nouveau, voit son visage qui halète, ses seins qui ballotte, son corps utilisé par
Maître...
Elle trouve en fait qu'elle n'est pas si horrible, en définitive... (Plus tard, cette image va la hanter. Son Maître derrière elle, son visage, le sien...)
Le plaisir est tellement grand de sentir le sexe de Ma^tre qui n'arr^te pas ses aller et venues sans ménagements qu'elle repart dans le plaisir, en fermant à nouveau les yeux.
Maître la laisse faire cette fois ci, il doit être satisfait de sa chienne, elle a obéi.
Plus tard allongé l'un contre l'autre, repus de plaisir, Maître sensuel lui explique ses manquements à sa loi, lui détaille ses devoirs, lui dit de lui faire confiance
" franchement tu complique tout, imagine toi sur un chemin.
Imagine que je je te prends la main pour te conduire, tu n'a plus qu'à te laisser mener".
Elle trouve cette image trés belle, elle sent que le pouvoir de cette évocation va la poursuivre longtemps...