Le blog de soumiserevedeliens

récit fictif pour Anodin
                                                                                                                                                                                 29/3/2013 11h08

 

Comme Anodin me l'avait demandé, j'ai enfin pu écrire, avec un Ma^tre J_Claude19 (Nous avons une relation d'écriture, ne nous sommes jamais vu - Je le remercie ici de sa participation) un récit mettant en scène une écolière et un Maître.
J’espère que vous aimerez, bonne lecture.

Titre: le Ma^tre et l'écolière Aurélie.
Scénario: R^vedeliens
écriture : Ma^tre J_Claude19 et R^vedeliens.
(récit sans prétention, juste pour le fun...)

Le Maître reçoit une jeune femme pour une leçon particulière.
Aurélie se présente à la porte d'entrée en robe longue et elle apparaît, tête baissée, toute timide, laissant chuchoter un "bonjour Maître" à peine audible!
Le Maître la prend par sa main toute humide de crainte et d'angoisse et la fait entrer dans son bureau à demi éclairé par un soleil tamisé....et lui demande de s'asseoir dans un fauteuil très accueillant.
Le Maître prend place derrière le bureau pour exercer son droit d'autorité et poser les premières questions d'inscription à la jeune fille rouge de timidité...
Aurélie est assise, dans le fauteuil, toute sage et apeurée, n'osant pas lever les yeux, les mains en poing sur ses genoux, les deux jambes serrées....
Le Maître lève le ton: " Ma petite Aurélie je t'avais dit de te présenter en petite fille et tu te présentes en dame: je voulais te voir en chemise blanche, petite cravate, soutien-gorge blanc, jupette, socquettes blanches et tennis".
"Tu n'as rien fait de tout cela et tu vas le regretter ...." Continue de vociférer le Maître!
"Je vais voir tes dessous...mets-toi à genoux sur le fauteuil et présente-moi tes fesses en soulevant ta robe ridicule!"
Aurélie, petit fille du haut de ses 45 ans, s'exécute et se positionne pour le plaisir du Maître!
Celui découvre, en effet, que la petite soumise avait mis une petite culotte blanche en nylon tout en montrant de jolies fesses blanches.
Le Maître s'approche d'elle, saisit la cravache posée sur son bureau et la lève pour un premier coup!
Le sifflement de l'objet punitif fait siffler l'air tant la frappe est violente que celle-ci claque sévèrement la fesse gauche d'Aurélie.
La fille lâche un "Aïe" de douleur, sursaute de surprise alors qu'une marque rouge signe la punition de la petite qui ne peut s'empêcher de porter une main à sa fesse tant elle est devenue douloureuse!
"Enlève ta main, crie le Maître, que je continue à te punir, petite insolente".
Non, Maître, s'il vous plaît, arrêtez, vous me faites trop mal!" pleurniche la fillette!
"Ôte ta main" hurle le Maître! Et baisse ta culotte que je vois ton cul entièrement et mets les mains sur la tête!"
Et Aurélie de s'exécuter, baissant sa petite culotte de nylon jusqu'aux genoux et présentant ses deux fesses dont l'une marquée en rouge par le coup de cravache!
Et c'est alors 10 coups de cravache qui s'abattent sur les deux fesses d'Aurélie qui sursaute à chaque coup, qui lance des "aïe" de douleur, et qui ne peut s'empêcher de frotter, instinctivement, de ses deux mains ses fesses devenues rouges vif......

Grimaçant, Aurélie quitte le fauteuil sur ordre du Maître, laissant retomber sa robe sur sa culotte coincée à mi-cuisses!

Le Maître Lui ordonne alors:
"Mets-toi nue"
Aurélie est incrédule, n'ose pas, se fige.
Mais la punition qui vient de se dérouler lui donne la motivation pour obéir.
Elle fait passer par dessus sa t^te sa robe. Le Maître savoure les bras blancs tendus, la poitrine relevé, et les petits bourgeons qui semble lui dire: "prenez moi en bouche, Monsieur, prenez moi en bouche"
Le Maître s'ébroue mentalement, il n'est pas temps pour ce genre de jeux.
Il observe la culotte qui file le long des longues jambes d'Aurélie.
"Bien, tu comprends que toute tentative de rébellion te vaudront encore la cravache, n'est ce pas Aurélie?
- Oui monsieur, répond-elle d'une toute petite voix
- Je n'ai pas entendu? Gronde le Maître
- Oui Monsieur, se force à dire tout haut Aurélie.
Le Maître a un petit sourire en coin. Bien, qu'elle s'entende dire qui est le Maître ici…
- Tu vas maintenant enfiler cette tenue, lentement, en prenant ton temps.

Aurélie suit du regard le doigt du Maître qui montre un tas d’habits.
Elle enfile donc lentement, comme Il l'a demandé, la petite jupette (elle est extrêmement courte, on voit le début de ses fesses, Aurélie en rougit), le chemiser à pans tout blancs (elle finit par comprendre que, comme il n'a aucun bouton, elle doit le nouer sous sa poitrine. Ses mamelons pointent sous le tissu très fin), la petite cravate ; s'assoit sur le fauteuil pour enfiler les chaussettes écossaises et les tennis blanches.
La voix puissante de Maître la tétanise:
"Écarte tes cuisses, quand tu t’habille. Attention, tu commence à aller trop vite"
Elle ralentit, ouvre grand ses cuisses, sent son visage s'empourprer: son sexe est grand ouvert, offert au regard du Ma^tre, qui tel un félin devant sa proie, savoure cet instant.
Elle finit par lacer la dernière tennis.
"Bien, tu es une bonne soumise.
Nous allons maintenant commencer ta leçon particulière, pour MA Soumise Particulière.
Va derrière ce pupitre, assois-toi et prends un stylo.
Aurélie se dirige vers l'endroit indiqué.
Elle sent le tissu de la jupe qui se lève à chacun de ses pas, ses mamelons qui frottent sur le tissu du chemisier.
Elle voit ensuite le tabouret posé devant le pupitre et fais un demi tour si rapide que Ma^tre, qui l'a suivait, manque ses fesses qu'il voulait tâter.
"Mais, Maître...
-Oui Aurélie, tu n'aime pas le siège que je t'ai préparé? Tu souhaite avoir ta leçon, me semble t-il, c'est bien là l'objet de ta présence.
Alors assied toi, empale toi bien ma Douce, tu vas connaître des sensations qui vont t'aider à progresser. ALLEZ."

Aurélie avance vers le tabouret, Maître a fixé dessus un énorme gode, il est tout luisant de lubrifiant.

tabouret.gif

Aurélie se positionne, sa jupette se lève encore plus, Maître en profite et claque la fesse gauche. Aurélie sursaute, baisse son corps tout doucement, elle a peur de cet engin, et pourtant elle sent que l'excitation la gagne.
"Hou mais que tu es lentouillette, allons ma fille, baisse toi encore...
Encore...
Encore…
Bien.
Maintenant, remonte ton bassin, voilà, tout doucement, là, baisse le, encore, encore...
Ne bouge plus. Prend le stylo, la leçon continue, je te dicte:
Ce que la salope Aurélie fais quand elle regarde un film porno, virgule,
elle remue le bassin sur son gros gode...
AURELIE! Quand je te dicte quelque chose, tu le fais aussi, petite idiote!"
Maître a l'air fâché, il repart derrière son bureau.
Ainsi empalé, Aurélie commence à gémir doucement, c'est si bon...
Maître revient, et lui assène un coup de badine sur les fesses, qui la fait se tortiller sur sa chaise.
Elle continue à écrire sous la dictée.
Parfois Maître pose la badine et appuie ses mains sur les épaules d'Aurélie.
Elle tente une fois de se lever, elle va jouir!
Mal lui en prends, c'est trois coups de badine qu'elle reçoit.
Maître repart, va chercher dans un coffre qu'elle n'avait pas vu des cordes, et lui lie les chevilles aux pieds du tabouret.
Puis il lui attache les mains, et passe les cordes à deux anneaux, fixé sur les cotés du pupitre.
Elle peut encore difficilement écrire, cela fais rire Maître...
Il continue sa dictée, et son petit jeu, en lui appuyant sur les épaules, lui dicte un texte de plus en plus cochon, elle sent qu'elle mouille comme jamais auparavant..
Dés que Maître voit une faute, il lui assène des coups de badine sur les fesses.
C'est lui qui choisit le nombre, en fonction de la faute; un pluriel, un accord, une conjugaison...
Parfois c'est sur ses seins que la punition tombe, il serre fort ou doucement les fins tétons, qui s'excitent de plus en plus...
Maître décide la fin de la dictée.
Il lui bande les yeux et grimpe devant aurélie, sur le pupitre.
Dans cette position, Aurélie a la bouche juste à la bonne hauteur, Maître veut lui donner une leçon buccale.
Il enfourne son engin aussi loin qu'il le peut, Aurélie suffoque, Maître se retire, puis recommence.
"BOUGE TON BASSIN, continue, ne t'arrête pas."
Et Maître entends enfin les cris de jouissance de son élève.
IL peut enfin de laisser jouir, et gicle dans la gorge d'Aurélie.
Qui, soyez en sûr, reviendra.
Elle s'est promis de progresser en orthographe...

Dim 14 avr 2013 Aucun commentaire