Le blog de soumiserevedeliens

Fantasme

9/3/2013 23h52

 

 

le phantasme de Betty

Maître Chat Botté et Betty. Toujours la m^me chambre et la m^me salle de bain.

Le m^me cérémonial.

Maître lui a demandé d’aller se dévêtir. Elle a fermé la porte, c’est ce qu’il veut.

Mais il lui a demandé une nouvelle chose : qu’elle se passe déjà le bandeau sur les yeux.

Ce qu’elle fait.



« Betty, tu peux venir ».

Elle sort de la pièce, nue, lentement comme il lui a demandé.

Soudain elle sent derrière elle une présence. Elle se fige, une main se plaque sur sa bouche, l’autre lui enserre les bras.

Elle panique, se débat.

Ce n’est pas lui, pas sa corpulence, pas son odeur…

L’homme (elle sent dans son dos un renflement qui ne laisse aucun doute sur son sexe) la pousse au milieu de la pièce.

Elle gémit, et sent d’autres mains qui caresse ses seins, descendent et entrouvrent son sexe humide.

Humide déjà parce qu’elle était très excité de se retrouver de nouveau avec Maître Chat Botté.

Elle serre les cuisses, se débat, tente de se dégager.

Celui qui la tient a une poigne de fer, elle n’arrive à rien.

La voix de son Maître la fige :

« Betty, je te rappelle que nous avons un contrat.

Et que tu m’a fais part de tes fantasmes.

Il me plait d’honorer celui-ci. Comme il te plaira d’honorer le mien, lorsque Brigitte viendra. »

Elle sent toujours les mains étrangères lui titiller les tétons, elle les sent qui durcissent.

La main toujours plaqué sur la bouche, le bandeau sur les yeux, immobilisée elle ne peut rien faire.

Sauf pour ses jambes, qu’elle trémousse tant qu’elle peut.

betty-fant.gif  

Mais ses fesses bougent tout autant, et elle sent le renflement dans son dos devenir plus important et insistant.

Alors elle serre fort ses jambes et ne bouge plus.

Le deuxième homme arr^te ses caresses.



L’immobilité lui permet de réfléchir enfin.

C’est le scénario de son Maître.

Elle a toujours senti, et elle sait qu’elle peut lui faire confiance.

« Betty, tu vas te laisser faire, ces deux hommes ne veulent que ton plaisir et le leurs.

Moi je veux que lorsqu’ils t’honoreront par tes deux orifices du bas, tu me fasse une fellation dont tu a le secret…

Maintenant tu ne vas pas crier lorsque que ta bouche va se retrouver libre.

Et tu laisseras mon ami te poser l’anneau qui tiendra ta bouche ouverte,

Tu les laisseras encorder tes bras.

Figure-toi qu’ils connaissent le bondage »



Ils font ce que Maître a décidé.





Elle sent sa bouche étirée par l‘anneau, sent les lanières fermement fixé autour de sa t^te.

Un des hommes lui fait une queue de cheval (c’est pour mieux te tenir, lui murmure –t-il à l’oreille » ) pendant que le second lui enroule plusieurs longueur de cordes autour des avant bras tiré dans son dos.

Elle reconnaît la technique, sait qu’elle ne pourra pas se détacher.

Une peur ténue la tient au ventre, mais elle sent aussi une excitation qui monte doucement…

Ils ont fini.



La voix de Maître :

« Betty, peux tu me réciter l’article annexe de notre contrat sur le croisement des jambes devant son Maître ? »

Elle se fige à nouveau.

Ho non ! Elle pressent ce qui va suivre, à du mal à y croire, son Maître va loin encore :

« Messieurs, Betty est une Soumise qui fait peux cas de ses devoirs. Que doit faire un Maître devant un tel comportement, d’après vous ? La punir ?

Oui ; n’est-il pas, ça tombe sous le sens.

Que deviendrai l’autorité du Maître s’il ne se fait pas respecter ?

Tenez là, Messieurs, le châtiment va commencer.



Un homme la tient par la taille, la penche en avant.

Elle sent un corps avec sa t^te, un sexe dressé s’enfourne dans sa bouche, sens les mains qui lui enserrent la nuque..

Maître, lui, pratique son jeu favori.

« Bien, Betty, comme tu ne peux pas compter, je vais tirer les dés.

Devine combien j’en ai amené, ce soir ?

5.

Et je vais les faire rouler ensemble.

Combien allons-nous trouver ? »

(Ho non , se dit Betty.

Un grand nombre, certainement.)

Elle sait ce que lui prépare Maître.

Les dés roulent.



« 23 , tu as de la chance ce soir, ça aurait pu être plus.

Lève un doigt si tu veux le fouet, 2 si tu veux la cravache »

Elle en léve 1. Il aime le fouet…



Le sexe dans sa bouche lui obstrue parfois le fond de la gorge, elle peine à respirer.

Elle a beau essayer de dégager sa t^te, la m^me poigne incroyable la tient.

Et la lanière vient lui cingler les fesses.

Elle tente de se libérer, tombe les fesses, plie les genoux, pendant que celui qui tient sa taille l’immobilise. Il est trop fort pour elle.

Peine perdu, Maître ne perds pas de vue son postérieur, il assène les coups à sa manière toute particulière : parfois ils se succèdent, parfois l’attente la fait frissonner…

Bâillonné par le sexe de l’homme qui ne bouge plus, certainement hypnotisé par la danse du fouet, elle compte dans sa tête.

Enfin c’est fini.

Ses fesses la brulent.

Les deux hommes la relèvent, ELLE SENT QU’ON LUI FAIT CHEVAUCHER UN DES HOMMES.

Son anus est forcé à son tour, l’homme lui tire la tête par la queue de cheval…

Elle sent un sexe qu’on lui introduit dans la bouche.

On lui enlève le bandeau, c’est Maître Chat Botté.

Elle le regarde, éperdue, sent que le plaisir va gagner…

Maître, après avoir introduit son sexe dans sa bouche, et fais des aller venant en lui tenant fermement la t^te, éjacule sur son visage.

Etrangement elle se sent heureuse et fière.



Les deux hommes partis, elle s’endors dans le bras de Maître, qui lui caresse doucement les cheveux et lui récite du Aragon. Il sent que la musique des mots est un lent moteur qui la transporte..

Dim 14 avr 2013 Aucun commentaire