Le blog de soumiserevedeliens
9/11/2011 20h59
J'ai depuis quelques temps une trés forte envie de poster ce sujet.
HAAAAA ça fait du bien de se laisser aller!!
Car lorsque j'en parle, j'ai souvent des réactions incrédules sur la réalité des femmes fontaines.
On me dit que c'est de l'urine, ou bien que j'étais femme fontaine avant de le rencontrer...
Avant que de poster l'article que j'ai trouvé sur le net, je tiens à préciser que neni, je ne l'étais pas avant.
Une seule fois ça m'étais arrivée.
Un fesseur (il n'aimait que ça, et pas d'autres pratiques BDSM ) m'avait attaché à ma demande, et j'étais tellement excitée que ça m'est arrivée. Mais sans aucune intervention physique de
sa part.
Il s'était reculée, moi attaché à une table. Il a vu jaillir de mon sexe un filet d'eau, comme un arc en ciel, il avait trouvé ça joli. Moi je n'avais rien senti, à part une sensation de liquide trés chaud qui s'écoulait...
Mais rien à voir avec un Maître qui posséde un vrai savoir faire.
Lui sait me les provoquer. Avec une gestuelle bien ma^trisé et qui à chaque fois me laisse pantoise, admirative... Que je sois debout, lui me maintenant fermement par mes épaules, ou couchée les jambes relevées, ou les fesses bien en l'air, en levrette...
Quelques secondes, je ne sais m^me pas si on atteint la minute, lui suffisent. Il faut dire que je perds totalement la notions du temps lorsque q'un Maître m'inflige ce doux supplice.
Doux parce que si bon, supplice parce que je ne peux rien arrêter, je ne contrôle plus rien, un Maître devient LE Ma^tre ABSOLU de mon plaisir... Et j'ai toujours la peur de cette
puissance qui monte en moi, fugitive, fugace, avant que le plaisir devienne si fort que tout est alors balayé.
Je suis complétement et totalement reconnaissante envers un Maître de me faire vivre de tels moments. Et de la plénitude qui s'ensuit.
Mais: pour étayer cette
légende de la femme fontaine, car je suis bien consciente que seule ma parole ne suffira pas, je rajoute cet article.
Bonne Lecture! (il me semble que je l'avais trouvé en faisant une recherche sur la cyprine, le nom du liquide des femmes fontaines)
" Ejaculation féminine
Certaines femmes sont gênées par un phénomène qu'elles ne comprennent pas : au moment de l'orgasme un liquide plus ou moins abondant s'échappe de leur vagin.
• Est-ce une sécrétion sexuelle abondante ?
• Est-ce de l'urine et donc une incontinence urinaire ?
Parfois embarrassées par cette énigme elles préfèrent s'abstenir d'orgasmes.
Sans doute font-elles parties de ces femmes qui présentent une éjaculation lors de l'orgasme.
Ce phénomène est lié au point G (point de Gräfenberg). Le point G est une zone de la taille d'une pièce de 2 €uros située dans la paroi antérieure du vagin proche de l'entrée vaginale .
Cette zone est sensible et augmente de volume lors de l'excitation sexuelle surtout en cas de stimulation directe par un doigt ou lors d'un rapport sexuel, l'homme se situant derrière la
femme.
Les contractions péri-vaginales lors de l'orgasme expulsent dans l'urètre le liquide contenu dans cette zone.
Certains chercheurs pensent qu'une prostate rudimentaire située à la base de la vessie produirait cette sécrétion.
Dr Agnès Mocquard
En 1950, Ernest Gräfenberg décrit une zone anatomique située sur la face antérieure du vagin : c'est le fameux point G. Selon lui, c'est cette zone qui gonfle et produit un liquide lors
de l'orgasme. Mais des travaux plus récents permettent de mieux comprendre ce phénomène. Pour le Docteur Zaviacic1 qui étudie cette question depuis de nombreuses années, les femmes
auraient une prostate. Ce chercheur a en effet démontré que les tissus des petites glandes qui se trouvent entre le vagin et l'urètre et autour de l'urètre (appelées les glandes de Skène
ou glandes para-urétrales) étaient similaires à ceux de la prostate de l'homme. Et qu'ils produisaient comme chez l'homme, une substance fabriquée naturellement par la prostate un
antigène prostatique spécifique autrement appelé PSA. Devant tant de similitudes, le Docteur Zaviacic propose de rebaptiser les glandes de Skène : prostate féminine. Cette prostate
féminine correspond anatomiquement au point G.
Le problème de l'éjaculat féminin n'est pas pour autant réglé. Où est-il sécrété ? En effet si la femme a une prostate celle-ci pèserait moins de 5 g (chez l'homme la prostate pèse 15 à
25 g). Cette petite prostate ne pourrait donc excréter que quelques gouttes de liquide… Ou bien lors de l'excitation cette glande devrait se gonfler particulièrement… Espérons que les
recherches en cours nous éclaireront sur ce sujet !
L'éjaculat est décrit comme inodore, de goût neutre et liquide comme de l'eau. La quantité varie de quelques gouttes à 50 ml. Il ne tache pas le drap. Pendant longtemps aux Etats unis, on
a opéré des femmes pour incontinence urinaire pendant l'orgasme, maintenant elles seraient diagnostiquées comme des "femmes fontaines"."