Mon Maître,
Vous avez commencé mon dressage. M^me quand vous n'êtes pas là.
J'ai des ordres à suivre.
En particulier: je n'ai pas le droit de croiser les jambes. Jamais. Vous aimez savoir que je me tiens en permanence les jambes écartées.
Chez moi. Au travail. Au docteur. A l'esthéticienne, partout à tout moment...
Et ce n'est pas si facile.
Je ne me rendais pas compte que j'avais de tels automatismes.
Les premiers jours, je me surprenais les jambes bien croisées. Je les décroisais vite vite, et je me surveillais.
Mais chassez le naturel, il revient au galop.
Et à ma grande confusion, je me retrouvais peu de temps après dans la m^me positon...
Ce qui a vraiment accéléré mon dressage des cuisses écartées, c'est notre séance de l'Andromaque.
Vous me dressez aussi à devenir votre salope, et dans ce cadre vous aimez me faire vous chevauchez. Je dois bouger mon corps, faire monter et descendre ma chatte sur votre sexe si puissant.
Mais passons, je ne détaillerai pas ici mes efforts pour vous satisfaire, juste dire que les muscles de mes jambes ont été courbaturés pendant presque quatre jours après.
Là il devenait impossible de croiser mes jambes. A peine mes muscles rentraient-ils en action pour soulever ma cuisse que je la reposais tout de suite, ça faisait trop mal!
Mon corps soudain trouvait seul le moyen de vous obéir aveuglément...
Peu à peu les courbatures résorbées, mes cuisses sont restées sages.
Maintenant je me surprends de moins en moins à les croiser.
Ce n'est pas encore gagné. Mais je me surveille. Pour vous. Depuis que vous m'avez dit que cela vous excite de savoir que je les garde écartées pour Vous...