C'est le week end, vous avez décidé d'inviter vos amis.
Vous m'avez demandé de préparer un repas, d'en mouliner une portion en trés dilué , et de la réserver. J'ai donc préparé un poulet finement roti, avec une garniture de légumes revenu au
four dans le jus du poulet (champignons de paris, pommes de terres, carottes et poivrons rouge). Une salade avec du fromage de chévre et des tartines légérement grillées, et un gateaux achété
chez le patissier pour terminer.
Vous m'avez ensuite interdit de porter une robe pour les accueillir.
Je devais porter un soutien gorge redresse-sein pour laisser voir mes tétons, un porte jaretelle avec des vrais bas , et pas de string...
J'étais trés nerveuse à l'idée d'accuillir vos amis dans cette tenue, mais vous avez été intransigeant, et vous n'avez pas tenu compte de mes suppliques (peut être avez vous vu la lueur de mes
yeux, vous disant que cela m'excitait aussi terriblement?).
Vos amis sont arrivés, vous m'aviez demandé de rester dans la cuisine, et de venir seulement quand vous m'appelleriez.
J'avais préparé un plateau avec quelques bouteilles d'apéritif, je devais entrer en le portant , suivant vos consignes.
Je vous entendais blaguer, rire avec vos amis, les voix trés males m'excitaient un peu, je dois dire.
Vous avez enfin prononcé mon prénom, "Christine", en m'appellant. Je suis entrée dans la piéce, baissant les yeux, marchant lentement.
Je tremblais un peu, je dois dire, mais j'étais aussi fière de moi, de vous faire honneur, de leur montrer quelle chienne docile vous aviez dressé pour votre plaisir...
"alors Chrisitine, sers nos invités, et monter toi docile, je ne veux pas que mes amis repartent déçus de cette soirée. Alors, vousprenez quoi, mes amis?"
Au fur et à mesure de leurs réponse, je devais me pencher pour leurs servir à boire, vous , trés à l aise, debout derriére moi, vous carréssiez mes fesse, en disant" ce cul que vous voyez là,
chers amis, vous pouvez à loisir le tâter, il adore sentir des mains balladeuses"
AInsi encouragé, vos amis ne se privaient pas de palper mes fesses, de les malaxer. Un homme a m^me voulu avaler goulument mon mamelon, alors que je tentais de lui verser à boire... J'ai du
m'imobiliser, de peur de renverser le liquide ambré. Vous avez alors introduit un doigt dans mon anus, et de vous sentir à cet endroit, de sentir mon mamelon ainsi traité, qui irradiait de
plaisir jusque sur mon clitoris, m'a fais gémir de désir...
" Ha vous voyez Messieurs, je ne vous avez pas menti, ma chienne est trés receptive, elle geint comme une bonne petite chienne bien dressée. La voilà chaude, les apéritifs sont servi: mets toi à
quatre pattes, Christine, et va sucer mes amis".
Comme je restais figée, stupéfaite et génée à la fois de votre demande; vous avez claqué mes fesses deux fois, en disant"allez ma salope, montre ton savoir faire, rapelle toi: ne me déçois pas"
j'ai alors approché, à quatres pattes, de votre ami le plus proche, assis dans le canapé. Il a rapidement sorti son sexe, déjà tout gonflé et bandant, et je l'ai pris en bouche. Je me suis
appliqué du mieux que je sais faire, altenant les moments doux, plus plus rapide, lévres sérrés comme vous me l'avais appris, ou bouche grande ouverte pour laisser le sexe s'introduire le plus
loin possible.
"Christine, j'ai décidé que pour toi, l'apéritif ce sera le sperme de mes amis. Avale tout, tu as intérêt à obeir, je te préviens, je ne serai pas tendre si je suis dépité par ton comportement"
Votre ami a joui trés vite, et j'ai tout avalé, pour vous obéir.