Vague à l'ame dans la soumission

Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 00:15

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Il est temps de se ressaisir, temps de vouloir en finir, avec cette douce guimauve, tapie là au fond comme un fauve….

 

Tu le savais quand tu as commencé, te voilà maintenant piégée dans cette description, ce domaine du possible. Ce message qu’il t’a envoyé, oh si fort, ça fait mal, là…

 

« bonjour ma soumise
> après avoir lu tes messages, et réfléchi à tes changements d’humeur,  je pense que tu es bien en dessous de tes envies et possibilités: je m explique   en fait tu est prêtes à me donner vraiment beaucoup plus. de toi de ton temps de ton corps  de tes pensées  et de ton cœur  même si tu prétends le contraire.......
> le principal  pour toi  étant  que tu veux que l'on s occupe de toi   et je le comprend bien crois moi ......
> même la multiplication des maitres de l instant  n'arrivent pas à  combler  tes envies  ton corps et surtout ton cœur.......
> en fait tu serais prête à être la femme d un seul maitre si  il s occupe de toi tous les jours et toutes les nuits  aussi......

 

> mais voila  les choses sont un peu différentes   .  Je travaille beaucoup  et je suis très peu chez moi
> j’ai encore envie de toi et je pense moi aussi beaucoup à toi »


Mais tu sais bien toi que jamais oh grand jamais tu ne dois laisser ton cœur prendre les commandes. Ce salaud ce sale traître, il va te laisser tomber, il va jouer de toi, d’ailleurs tu vois déjà ? Tu pleure.

 

Tu le sais bien, tu as une priorité, une seule. Ta fille.

Tiens bon ce cap, ne laisse rien partir, ne décroche pas, vire de bord et tu es morte…

T u as vu grand dieux  la dernière fois, tu as eu trop peur,  tu aurais pu la perdre encore…

Alors tiens bon, ne lâche pas, tien bon, oh oui surtout tiens bon.

Accroche-toi à ton ancre. Parce que ce Maître est redoutable, il voit clair en toi comme aucun homme ne l’a jamais fait, je suis transparente pour lui, au secours…

Pour lui tu es… juste une aventure, qui sera finie un  jour, une vague de passage, qui lui fait prendre son pied et l’emmène jouer avec ses pulsions secrètes…

Alors reste ça, reste à ta place, laisse la voix glacée de la raison t’emmener, écoute là, elle est sage, elle. Pas comme toi, cœur scélérat et salaud.

Calme.

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Vague à l'ame dans la soumission
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 21:27

Vous ne pouvez pas savoir comme vos messages, cet après midi m’ont fait du bien !

Je me surprends à chantonner, je ris, j’ai la démarche sautillante…

 

Parce que vous avez pris le temps de me répondre, et cela m^me un samedi.

Je sais combien c’est difficile pour vous.

Et parce que vous avez écris «  je pense à vous sans arrêt, c’est horrible »

Et je souris, parce que vous aussi vous êtes toujours dans mes pensées, c’est terrible.

 

Je ne m’attendais pas à ça lorsque je vous avais répondu pour la première fois.

Sauf que je savais qu’il fallait que je fasse attention, sur votre profil vous aviez marqué que vous souhaitiez une relation long terme,  que vous vouliez quelqu’un que vous feriez votre, et d’autres marqueurs encore qui montraient bien votre recherche.

De quelqu’un à …aimer.

Et moi grande bêtasse, j’ai cru être de taille à relever le défi, partir jouer avec vous qui aviez l’air si profond et attachant.

Mais votre appel a réveillé en moi, au fil de vos messages, ce que je croyais verrouillé et jeté aux oubliettes.

 

Et que dire de notre première rencontre ?

D’abord vous avez voulu me voir au restaurant. Et c’est tout. J’ai beaucoup apprécié que vous ne vouliez pas une séance là maintenant tout de suite.

M^me si je fais comme ça d’habitude avec les Maîtres de l’instant. C’était, oui, so romantic…

 

B^tasse, B^tasse…

 

Je me suis garée, et en sortant de la voiture je vous ai vu de l’autre coté de la route. En m’apercevant vous avez eu un sourire si chaleureux, si lumineux. J’ai littéralement « fondue » pour reprendre votre expression.

Et lorsque, ayant traversé la route, je me suis retrouvé devant vous, vous m’avez tout de suite saisie dans vos bras et embrassée à pleine bouche.

J’ai eu un choc. Je ne m’attendais pas à ce que mon corps réagisse comme ça.

Oui je ne m’attendais pas à vous.

 

Et que dire de nos séances ? Vous me faîte tout ce que j’attendais d’un Maître sans jamais avoir osée le dire.

Vous prenez mes poignets, me les enchaînez avec vos mains, je deviens votre prisonnière et j’adore ça…

Vous me saisissez par les cheveux, vous m’en faites une queue de cheval, et vous jouez avec ma t^te comme bon vous semble…

Lorsque vous l’avez tirée en arrière pour me forcer à me regarder dans ce miroir, vous dans mon anus, boudu ! Indescriptible ce que vous m’avez permis de ressentir…

 

De plus vous avez une vitalité incroyable, bien supérieure à la mienne, n’en doutez pas…

Lorsque l’après midi finissant, m’agenouillant devant vous, vous avez investi ma bouche, et vous que m’avez cravaché les fesses, tapes régulières, votre voix ordonnant « PLUS VITE »

 «  MIEUX QUE CA »  et autres commentaires qui me forçaient à vous satisfaire du mieux que je pouvais ; vous m’avez transformée en une femelle-bouche, concentré sur votre seul plaisir, m’efforçant de tout faire pour vous combler. J’entendais votre voix, première stimulation, je sentais la cravache qui ne cessait pas, deuxième stimulation. Mes fesses devenaient certainement rouge écrevisse bien cuite, le temps ne semblait plus s’arr^ter. J’ai  senti que je n’y arrivais plus, j’ai eu à un moment comme un « petit trou noir ». Vous l’avez perçu tout de suite, vous m’avez demandé si je voulais dire « rouge » pour arr^ter ? Je vous ai répondu « oui s’il vous plait » je vous ai dit que je n’arrivais plus à respirer, mais je ne sais toujours pas ce qui m’est arrivé à ce moment là avec vous.

C’était la première fois que je vivais ça avec un dominant, d’habitude je garde toujours un certain contrôle de moi-même.

Là non je n’ai pas pu.

Et je pense que vous croyez que vos coups de cravache, ou la douleur que vous pensez trop forte, m’ont fait l^cher prise, alors que non pas du tout…

Heu si dans un sens, peut être que je suis parvenue à un seuil où la douleur n’était plus de la douleur, se transformait en autre chose, mélangée à ma concentration pour vous fellationner.

J’en suis encore éberluée.

Mais je m’en suis voulue de stopper ce moment qui était si intense, j’espère que vous y pris du plaisir, mon Maître Sensuel..

Vous avez éjaculée sur ma langue, en vous masturbant pour m’aider, avez-vous dit.

(J’aurai tant aimé  avaler à nouveau votre sperme et m’en nourrir, vous donner avec ma bouche ce plaisir…Tant pis, peut ^tre que j’y arriverai à nouveau).

 

Et puis il y a votre perspicacité, votre clairvoyance dans ce que j’éprouve et ce que je ressens.

M^me dans les toutes petites choses.

Je ne peux rien vous cacher, vous lisez en moi comme un livre ouvert.

C’est agaçant. Ca me rends tellement vulnérable…

C’est effrayant. Ca vous rends tellement puissant…

Juste à ma respiration, moi dans vos bras, vous avez senti que je pensais à quelque chose qui me faisait stresser.

Et à notre première séance, alors que je vous enlaçais en vous serrant fort dans mes bras, vous avez dit « ha ha c’est  quoi ça ? » Je me suis immédiatement figée, j’ai bien senti, gr^ce à votre question, que je n’étais plus dans un jeu, mais dans un geste qui me trahissait.

Ne voulant pas l’admettre, j’ai pris une voix froide pour vous répondre ;

"Ca veut dire que je suis bien avec vous »…

 

B^tasse, B^tasse…

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Vague à l'ame dans la soumission
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Jeudi 18 avril 4 18 /04 /Avr 21:22

ch.jpg Tout se méle et se mélange ce soir, dans l’attente de demain.

Maître Sensuel m’a demandé de venir en putain, de me préparer dans la chambre, et de l’appeler dés que je suis prête…

Est-ce que je vais arriver à faire tout ce qu’il me demande ?

Déjà de réserver la chambre ça a été toute une histoire

Mon envie d’être prise en charge, de savoir que tout a été fait et organisé, que je n’ai juste qu’à me laisser guider  est revenue pointer le bout de son nez.

Alors chercher un hôtel ou un gite pour un jour, ne pas savoir si éventuellement Maître n’est pas gêné financièrement ce mois ci, choisir finalement un pas cher…

A Cuq , le bombardier,  le jour de la Saint Parfait.

 

Et en moi, excitation, peur, envie, crainte de ne pas être à la hauteur de ce qu’il attend,

Dois-je me montrer entreprenante ou soumise docile à ses caprices, que veut-il, je ne sais pas, et ça me rends anxieuse.

Et si je fais des choses qui lui déplairont ?

 

Pffffff… Je me sens vulnérable. Fragile. C’est tellement déstabilisant.

Comme une souris prise dans les griffes d’un félin…

Mais je vais où comme ça, mais je vais où ?

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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:25

Il me revient en mémoires des moments qui me dresse le clitoris et font que mon bassin bouge tout seul...
Pourquoi mon corps réagit-il si fort?
Pourquoi justement avec vous, qui vous souciez si peu de moi?
Vous êtes marié.
Je le savais.
Je vous avais dit que je ne souhaitais pas partir sur une avanture avec un Maître qui en jouerait.
J'ai trop vu de soumises en souffrance, attendant un mot, un texto, un appel de leurs Maîtres engagé avec une vanille, et ne recevant rien.
De leurs jalousie, de leurs coups de blues, de leurs tristesse.
Et du Maitre qu parle d'abstinence imposée, d'épreuves à franchir, de soumission exaltée...
Quelle connerie!

oui mais voilà.
je suis à la place de celles qui souhaitent plus de contact.
Vous, non, ça vous va comme ça.
Vous menez la danse.
Fichu corps, fichu désir de vous qui me hante.
Non je ne suis pas amoureuse. Ha surtout pas, manquerait plus que ça! Je suis une assez grande fille pour savoir que c'est mon corps qui parle, et seulement lui.
Pourquoi sinon ces réveils nocturnes avec le feu dans les reins?
Peut être parce que...

votre doigt introduit dans le vagin de femelle-chrisitne,  votre bouche jouant avec ses mamelons, votre autre bras enserre ses mains au dessus de sa t^te. Elle se sens contrainte, dans l’impossibilité de vous arr^ter, elle n'ose pas se débattre trop fort, pourtant elle a envie de vous faire cesser. C'est tellement fort! Tellement jouissif (encore la peur du plaisir qui revient...)
Et puis aussi je crois qu'elle a  envie de vous tester.
Alors remuer un peu les bras, histoire de voir.
Elle voit tout de suite.  Ou plutôt femelle-christine sens votre main qui force,elle ne peux pas résister, vous êtes si fort.
comme c'est délicieux cette sensations...les bras maintenus par votre étau, elle sent vos doigts qui continuent à explorer son vagin, ils bougent lentement, cherchent les zones sensibles, elle miaule lorsque vous effleurer cette zone qui lui procure un plaisir si aigu, juste au dessus de l'entrée de son vagin, pas vers l'anus, non, plutôt coté nombril...Elle halète, gémit, se contorsionne (pas trop, elle n'ose pas, ce serait remettre en question votre autorité) et se sent devenir femelle primate qui n'est plus que sens...
Comment arrivez- vous à la faire partir si loin si vite?
Comment son corps et ses sensations arrivent -ils à supplanter son esprit, ses limites habituelles dans le plaisir?
C'est incroyable, ça.
Femelle - christine se sait vaincue. Maître Sensuel l'a faite sienne irrémédiablement.

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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 20:18

Bouteille à la mer

 

Voyons, que je lise ; compatibilité astrologique : « Le comportement agité du Sagittaire pousse le Poisson nécessiteux à se sentir mal aimé et inaperçu. Les étincelles de la chambre à coucher est l'unique raison qui retient ce couple instable ensemble. »

 

Et bien si avec ça je ne suis pas prévenue…

Parce qu’effectivement, notre séance me laisse des souvenirs tellement fulgurant que j’ai parfois du mal à me concentrer.

Mais…

Dans la complicité, en dehors des séances, je sais qu’il faut que je fasse attention.

Maître sensuel ne correspond pas à mes attentes.

Il ne m’envoie qu’un message par jour, par exemple.

Ne rentre pas dans le détail de ce que j’écris sur nos jeux.

Juste « WOOOUUUAAAHHH  »….

 

Sourire, ce «  WOOOUUUAAAHHH » m’a pourtant poursuivi tout ce matin, il m’a fait du bien.

Et ce midi, je me suis précipité sur la messagerie pour voir si j’avais une suite à son

«BONJOUR CHRISTINE
> je suis tres touché par votre mail,sincerement 
> besoin -----DE LE RELIRE  POUR EN APPRECIER TOUTE LA SAVEURS  LE DEGUSTER---  A TOUT A L HEURE"

 

parce que pour moi :  à  tout à l’heure veut dire dans peu de temps, dans un instant…

Et bien rien.

Les larmes sont montées…

J’en ai ras le bol de ces yoyos émotionnels.

 

Je ne veux plus lui écrire de longs messages, où je me livre, lui raconte, lui explique.

Pourquoi faire ?

Pas d’échange, ni de retour.

Les autres Maïtres de l’instant ont, eux au moins, le respect de notre correspondance.

Ils me répondent vite, me rassurent, me complimentent, me taquinent, me questionnent, me racontent, m’expliquent…

 

Alors ne plus lui envoyer à lui.

Ce qu’il m’inspire.

Mais venir jeter une bouteille à la mer, qui voguera sur les flots tranquilles du net.

 

Parce que je sais bien qu’il m’attire.

Depuis notre première entrevue, au restaurant, j’ai tout de suite ressenti cette pulsion du corps qui répond.

J’ai mal dormi les premières nuits. Et ça continue. Me réveille en pleine nuit, paisible, jusqu'à ce que son souvenir fasse irruption dans mon esprit, ho quoi ? 2 à 3 secondes après mon réveil. Et toujours la m^me chose : un grand frisson , comme un coup de tonnerre, me traverse de haut en bas, la danse des sens commence…

Pfffffffff…

Et je revois.

Lui m’attachant les mains, cordes en nylon (hum pas bon ça) plusieurs longueurs enserrant mes poignets.

Il a auparavant dégrafé mon soutien-gorge, que j’avais choisi push up.

Coquetterie de soumise qui approche des 49 ans, et qui sait bien que sa poitrine n’est plus celle d’une jeune fille.

Les seins à l’air, elle a peur de lui déplaire. Les hommes sont tellement visuels, ils aiment les formes douces, rebondies et pleine…

Pas du tout sa poitrine. Elle a peur…Mais lui comme les autres, il ne dira rien,

(Je viens de me cacher les yeux derrière les mains, honte revenue à ce souvenir) mais elle sait, elle.

Il lui entoure le coup avec sa cravate. Et serre. Etouffement brusque.

Il lui dit : « tu ne sais pas qui je suis »

Peur. D’une autre sorte, sauvage, brutale.

Qui ne dure pas, il dégrafe son pantalon, elle ferme les yeux depuis le début, ses consignes étaient claires : « tu ne me regarde pas dans les yeux, sauf quand tu me suce »

Il introduit son sexe épais dans sa bouche, et sa cravate cloue son cou à son bassin.

Elle s’applique, fais venir sa bouche, il lui maintient parfois brusquement…

Oui elle revois. Tout.

Par soumiserevedeliens - Publié dans : Vague à l'ame dans la soumission
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  • : le blog d'une soumise, libre, du sud Ouest. Quand je parle de liberté, rien à voir avec un collier. Des Maîtres me font siennes, je suis en quête de rencontres, d'aventures humaines. Je ne sais qu'une chose: c'est que je ne sais pas grand chose.
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